Maintenant, sa mauvaise humeur s'était propagée, balayant toute la ville, balayant les oiseaux, balayant les fleurs.
Pourtant, il fallait bien que les choses changent. Il le savait.
Alors, les choses ont commencé à changer.
Un vent nouveau s'est levé.
C'était un petit souffle, un tout petit souffle.
Puis le souffle est devenu un tourbillon emportant Oscar.
Évidemment, si Oscar avait un peu levé les yeux, il aurait remarqué la beauté du monde qui l'entoure et qui redonne le sourire.
Mais il refusait de lever les yeux.
Regarder le sol, c'était plus intéressant.
C'est du moins ce que lui suggérait sa mauvaise humeur.