Je guettais avec impatience le nouveau roman de
Paul Greveillac. Il avait mis la barre très haut avec son précédent roman,
Maîtres et esclaves, mais
Art Nouveau est tout aussi remarquable. La période et la thématique explorées ici m'étaient moins familières et j'étais donc ravie de me plonger avec curiosité dans ce microcosme des architectes hongrois du début du siècle.
Les bâtiments décrits par la plume de Greveillac s'animent pour devenir des personnages à part entière.
Lajos Ligeti, à l'instar de Tian Kewei, est un personnage complexe, qui tantôt nous épate, tantôt nous agace mais dont le destin nous touche profondément.
Paul Greveillac nous offre ici des pages d'une très poésie, une écriture sublime, un regard amoureux sur l'architecture.
A lire !
Commenter  J’apprécie         60