Les possibles

Je n'ai pas détesté mais je ne peux pas dire que j'ai aimé. Il y a de bonnes choses et de jolis moments, mais un manque de rythme: chapitres courts construits sur le même modèle et comme il y en a 82 + prologue et épilogue, on a comme une impression de redite en avançant très (trop?) doucement.
Cela aurait mérité d'être plus "resserré "

Je n'ai vraiment pas accroché à ce livre…
J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire vraiment j'apprécie l'auteure mais pas ce livre…
L'histoire met beaucoup de temps à se mettre en place et c'est, de mon point de vue, assez plat et prévisible globalement…
Allez suivant !

Une mauvaise recommandation! Livre neuneu et sans intérêt qui essaie de nous atteindre avec du sentimentalisme à deux balles. Malheureusement, la mayonnaise n'a pas pris. L'intrigue ne m'a pas captivée de même que le style. Il y a beaucoup de blabla pour ne rien raconter. On a droit à des jeux de mots tous pourris dont l'auteur semble fière mais qui restent de pâles ébauches métaphoriques.

C'est peut-être parce que je ne vis plus en France mais j'ai trouvé qu'il y avait un côté un peu bourgeois à ce livre. Je ne pouvais m'empêcher de voir des blancs riches se plaindre de leurs problèmes dans leurs belles maisons. Problèmes qui m'apparaissent un peu dérisoires quand on sait que dans certains pays, des gens n'atteindront jamais l'âge du type. C'est un message que cherche ici à faire passer l'auteure et je peux le comprendre mais c'est mal amené. Ce bouquin n'est pas une oeuvre littéraire. Tout manque de profondeur. Il y a beaucoup trop de longueurs. C'est chiant. Décidément, les romans populaires ne sont pas pour moi.

Tout d'abord, je trouve que le résumé est franchement mensonger ! Je m'attendais à un roman feel good qui parle d'une relation un peu compliquée père-fille : un père bordélique, un peu foufou et une fille maniaque du contrôle. le début du roman est un peu comme cela. Sauf que, très vite, on commence à douter. Est-il vraiment juste foufou ? Ou perd-t-il la tête ? Une fois que le doute s'installe, cette lecture devient plus dure.

Je n'ai rien à redire sur la forme, si ce n'est qu'elle est souvent répétitive. Par contre, le contenu me donne plus de frissons dans le dos qu'un Stephen King.

Je le déconseille pour ceux dont la vie a été affectée par la maladie d'Alzheimer.

C'est le premier livre que je lis de cette auteure.

Après un incendie qui détruit sa maison Jean est accueilli par une de ses filles, Juliane. Jean est un personnage très loufoque, malgré son excentricité Juliane va se rendre compte doucement que son père commence à perdre ses repères jusqu'au diagnostique de démence vasculaire.

On parle beaucoup de Virginie Grimaldi, j'avoue que j'ai été un peu déçu. J'ai l'impression que l'histoire est un peu déconnectée de la réalité mais aussi superficielle. Je n'ai pas su m'attacher, comme si l'auteure racontait des événements qu'elle n'a jamais vécu et qui ne sont là que pour tirer les larmes ou provoquer une empathie forcée.

J'ai la sensation que l'humour est également forcé, il reste en surface. le sens de l'humour ne correspond pas au caractère de Julianne. Je manque de développement des relations entre Juliane et son mari. C'est un peu trop politiquement correct à mes yeux. Tout est un peu lisse et prévisible jusqu'au dernier chapitre.
Les descriptions manquent; surtout sur le voyage aux États-Unis, j'ai l'impression que l'auteure n'y est pas allée et qu'on trouve les descriptions du guide du routard.

J'irai quand même lire d'autres de ses livres pour voir mais celui-ci ne correspond pas à mes plaisirs de lecture. Les personnages de Jean et du fils Charlie sont les plus intéressants pour moi.

Autant j'avais bien apprécié et été touchée par Tu comprendras quand tu seras plus grande, autant celui-ci m'a laissée de marbre. Et pourtant, le sujet avait tout pour me plaire : un homme (peut-être pas assez âgé à mon goût) dont la tête part dans les nuages est recueilli par sa fille à la suite de l'incendie de sa maison. Juliane, la fille en question, aime se fondre dans la masse. Elle préfère renoncer à ses idées plutôt que reconnaître qu'elle ne partage pas celles d'autrui. Alors quand son père mène la vie dure à son voisin, c'est insupportable pour elle. Elle m'a agacée. Son père n'a pas fait vibrer ma corde sensible. Peut-être ni mon style, ni le bon moment pour moi.

Premier livre de Virginie Grimaldi, j'ai du le fermer au bout d'une centaine de page ce qui ne m'arrive que très rarement. L'histoire ne mène à rien, aucune intrigue pourtant le sujet est intéressant. Je ne me suis attachée à aucun personnage. Très déçue par cette autrice "à succès"...

Je suis toujours méfiante des livres qui font beaucoup parlé d'eux..surtout que l'auteure est plébiscitée à chaque fois.
L'histoire est émouvante forcément,les personnages sont rapidement mis en place mais ça n'a pas pris pour moi...
trop mièvre,trop long,trop ou pas assez je sais pas quoi ..

Ok le sujet m'intéresse : maladie d'Alzheimer. Et surtout, la relation fille-père, vu le vécu de 2020. Mais sur un sujet aussi grave, triste, j'attendais plus de profondeur et de réflexion. Je suis mauvais juge et mauvaise lectrice sur le coup, mon père n'était pas un vieux sioux qui ne marchait pas en file indienne comme le héros de V. Grimaldi. C'est çà qui me dérange dans le roman : cette légèreté, cet humour, cet optimisme envers et contre tout. Sujet encore trop sensible dirons-nous car c'est justement cet optimisme qui m'avait conquis dans "rallumer les étoiles".

Les possibles deviennent l'impossible pour moi vers la page 200.
Au début j'ai trouvé cette lecture légère, agréable. 100 pages auraient été suffisantes pour rendre hommage au père, car c'est ici le leitmotiv de l'histoire.
A force, c'est lassant et sans intérêt. L'écriture est insipide. Pas vraiment d'histoire, comme beaucoup de livre feel-good à la mode !!
La couverture est jolie et fraîche. le feuillet accrocheur : il parait que Virginie Grimaldi est la romancière française la plus lue en 2019 et 2020. Perso, je n'y trouve absolument pas mon compte.
Je ferme et je passe à autre chose...