Marina a été assassinée. Sa soeur jumelle, Susannah qui a voulu rompre le lien qui les soudait l'une à l'autre se reproche de n'avoir pas répondu à l'appel de celle-ci quand il en était encore temps. D'autant que des événements troublants lui font craindre depuis d'être la prochaine victime.
Bien qu'ayant apprécié ce roman, un thriller psychologique, une de mes lectures favorites, l'histoire manque de rebondissements. Cependant, j'ai trouvé intéressant les facultés de communication hors du commun pouvant exister entre jumeaux.
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J'ai plutôt bien aimé ce livre surtout la relation jumelle. Sinon, je me doutais bien qui était le "harceleur" enfin j'ai hésité entre deux personnages...Pas trés palpitant mais juste de quoi tenir en haleine, j'aurais préféré un peu plus de rebondissement....
J'aime bien les retours en arriére dans le passé de Susannah dans sa ville natale.
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Une histoire qui aurait pu être bien, des soeurs jumelles, l'une d'entre elle est assassinée et sa soeur commence a être harcelée comme sa jumelle décédée. Mais je n'ai pas accroché dès le départ donc j'ai encore une fois arrêté en début de roman.
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J'ai vraiment bien aimé : on se laisse gagner petit à petit par l'angoisse en imaginant les scénarii possibles... Un bon moment.
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La peur est une chose étrange, reprend-elle. C'est peut-être la plus puissante de toutes les émotions que nous sommes capables d'éprouver, et c'est souvent la plus irrationnelle, en apparence. La plus insidieuse, aussi. Elle peut vivre des années en nous sans se manifester pour surgir avec toute sa force au moment où nous nous y attendons le moins. L'ironie, bien sûr, conclut-elle dans un sourire, est que la plupart du temps notre peur est plus révélatrice de ce qui nous habite que de ce que nous percevons comme une menace extérieure.
- Avez-vous jamais entendu parler du syndrome de Munchhausen, mademoiselle DeBreen ? Elle s'est exprimée si vite que je ne suis pas sûre d'avoir saisi. Désarçonnée, je lui demande de répéter. "Le syndrome de Munchhausen, répète-t-elle en détachant les mots. On l'observe chez les personnes qui simulent ou mettent délibérément leur vie en danger pour attirer l'attention sur elles."
"La sécurité est un problème qui nous préoccupe tous, reprend gentiment Elena, sans plus plaisanter, cette fois.
Tous ceux d'entre-nous qui réfléchissons en tout cas. Seulement, n'est-ce pas,nous devons vivre avec les autres. Prendre le bus. Traverser la rue. Sortir la nuit pour promener nos chiens. Or, que se passe-t-il si nos peurs prennent le dessus ?
- Nous devenons des infirmes. Des prisonniers."