Dix ans après sa disparition, Marguerite Duras semble avoir acquis son droit d'entrée au panthéon des écrivains reconnus. Oubliés alors les jugements condescendants et réducteurs (Marguerite et sa " petite musique "), l'agacement poli, le rejet de plus en plus violent qu'elle suscita à partir des années soixante-dix ? Il est permis d'en douter En dépit de son apparente reconnaissance institutionnelle, il n'est pas sûr que l'ouvre ne continue pas à susciter de fortes... >Voir plus