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Critique de LoupAlunettes
"Un mur si haut" fait référence principalement au sujet de la dispute, même si les esprits lecteurs se lâcheraient aussitôt, simplement à penser, à vagabonder sur un degré supérieur de désaccord qui leur viendrait naturellement.
La situation est présentée sous la forme d'un conte, non traditionnel, pas de "Il était une fois", mais cela pourrait car aussi, "tout est bien qui finit bien".
L'histoire débute avec l'image de deux enfants, deux amis qui habitent pour l'une le royaume bleu et pour l'autre le royaume blanc.
Ces deux personnages sont ceux qui amèneront les jeunes lecteurs à réagir car Plume et Timy souffriront du mur si haut, et pas qu'eux d'ailleurs, ce qui conduira à le réduire en morceaux par la suite.
Il faudra donc qu'une vie soit en jeu pour que le peuple bleu et le peuple blanc se raisonnent enfin malgré la tristesse qui s'abat des deux côtés.
L'approche est délicate et limitée aux sentiments.
Un jour, le roi blanc et le roi bleu se disputent un bout de terre, mais se disputent très fort.
C'est alors l'embargo. Et un mur est bâti pour que le royaume blanc n'est plus rien à faire avec le royaume bleu (et vice versa).
Nous pourrions aussitôt avoir à ce moment de l'histoire sorti de notre boite à histoires tout là-haut, dans un coin de notre esprit, bien rangé à la lettre B comme Brami, le titre "Les deux arbres".
En effet, les deux amis à racines se trouvèrent un beau jour à ne plus pouvoir se voir a cause d'un mur et c'est le manque, une amitié contrariée, comme avec Plume et Timy justement qui tentent de lancer une corde pour se voir au delà du mur infranchissable.
D'autres habitants rencontrent aussi le manque, un membre de la famille qui habite l'autre royaume. Que deviennent-ils?
Il faudra que les habitants des deux royaumes décident d'eux-mêmes de casser le mur afin que le royaume blanc se procure une fleur bleu qui puisse guérir le Roi Blanc têtu et très malade qui préfère y rester plutôt que de passer outre la dispute.
Le fond de l'histoire fera son chemin.
D'autres titres sont plus explicites sur le sujet sans passer par une métaphore, ils s'adressent aux tout-petits dans le cadre du quotidien.
Il est évident que cet album va bien au delà et s'adresse à un jeune public en âge de saisir les deux niveaux d'allusions.
A découvrir.
La situation est présentée sous la forme d'un conte, non traditionnel, pas de "Il était une fois", mais cela pourrait car aussi, "tout est bien qui finit bien".
L'histoire débute avec l'image de deux enfants, deux amis qui habitent pour l'une le royaume bleu et pour l'autre le royaume blanc.
Ces deux personnages sont ceux qui amèneront les jeunes lecteurs à réagir car Plume et Timy souffriront du mur si haut, et pas qu'eux d'ailleurs, ce qui conduira à le réduire en morceaux par la suite.
Il faudra donc qu'une vie soit en jeu pour que le peuple bleu et le peuple blanc se raisonnent enfin malgré la tristesse qui s'abat des deux côtés.
L'approche est délicate et limitée aux sentiments.
Un jour, le roi blanc et le roi bleu se disputent un bout de terre, mais se disputent très fort.
C'est alors l'embargo. Et un mur est bâti pour que le royaume blanc n'est plus rien à faire avec le royaume bleu (et vice versa).
Nous pourrions aussitôt avoir à ce moment de l'histoire sorti de notre boite à histoires tout là-haut, dans un coin de notre esprit, bien rangé à la lettre B comme Brami, le titre "Les deux arbres".
En effet, les deux amis à racines se trouvèrent un beau jour à ne plus pouvoir se voir a cause d'un mur et c'est le manque, une amitié contrariée, comme avec Plume et Timy justement qui tentent de lancer une corde pour se voir au delà du mur infranchissable.
D'autres habitants rencontrent aussi le manque, un membre de la famille qui habite l'autre royaume. Que deviennent-ils?
Il faudra que les habitants des deux royaumes décident d'eux-mêmes de casser le mur afin que le royaume blanc se procure une fleur bleu qui puisse guérir le Roi Blanc têtu et très malade qui préfère y rester plutôt que de passer outre la dispute.
Le fond de l'histoire fera son chemin.
D'autres titres sont plus explicites sur le sujet sans passer par une métaphore, ils s'adressent aux tout-petits dans le cadre du quotidien.
Il est évident que cet album va bien au delà et s'adresse à un jeune public en âge de saisir les deux niveaux d'allusions.
A découvrir.
