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Critique de MarieCuriesceaux
Résumé:
Un homme vit seul dans une vielle maison normande qui devient le décor principal du récit. Cet homme est victime de cauchemars, d'hallucinations et d'angoisses qui le hantent jour et nuit. Il voyage pour essayer d'oublier ses tourments qui disparaissent loin de chez lui, mais qui hélas reviennent à proximité de sa maison. Il imagine que son malheur provient d'une créature invisible qu'il nomme le Horla. A la fin du récit, se pensant vaincu par le Horla, il songe à la mort.
Avis:
Ce que j'ai trouvé intéressant dans ce livre c'est que l'auteur installe un doute tout au long du récit sur l'existence d'une nouvelle créature susceptible d'anéantir les humains.
La forme du journal intime m'a plu car on se met vraiment à la place du personnage principal. Les angoisses et les terreurs du narrateur s'intensifie au cours de l'histoire, ce qui tient le lecteur en haleine, sans connaître la vérité: le narrateur devient-il fou ou bien l'existence de cette créature est-elle réelle ?
Extrait: page 49 ligne 740 à 750
''Malheur à nous ! Malheur à l'homme ! Il est venu, le... le... comment se nomme-t-il... le ... il semble qu'il me crie son nom, et je ne l'entends pas... le...oui... il le crie... J'écoute... je ne peux pas... répète... le... Horla...J'ai entendu... le Horla... c'est lui ...le Horla... il est venu !...
Ah! le vautour a mangé la colombe; le loup a mangé le mouton; le lion a dévoré le buffle aux cornes aiguës; l'homme a tué le lion avec la flèche, avec le glaive, avec la poudre; mais le Horla va faire de l'homme ce que nous avons fait au cheval et au boeuf: sa chose, son serviteur et sa nourriture, par la seule puissance de sa volonté. Malheur à nous !
Un homme vit seul dans une vielle maison normande qui devient le décor principal du récit. Cet homme est victime de cauchemars, d'hallucinations et d'angoisses qui le hantent jour et nuit. Il voyage pour essayer d'oublier ses tourments qui disparaissent loin de chez lui, mais qui hélas reviennent à proximité de sa maison. Il imagine que son malheur provient d'une créature invisible qu'il nomme le Horla. A la fin du récit, se pensant vaincu par le Horla, il songe à la mort.
Avis:
Ce que j'ai trouvé intéressant dans ce livre c'est que l'auteur installe un doute tout au long du récit sur l'existence d'une nouvelle créature susceptible d'anéantir les humains.
La forme du journal intime m'a plu car on se met vraiment à la place du personnage principal. Les angoisses et les terreurs du narrateur s'intensifie au cours de l'histoire, ce qui tient le lecteur en haleine, sans connaître la vérité: le narrateur devient-il fou ou bien l'existence de cette créature est-elle réelle ?
Extrait: page 49 ligne 740 à 750
''Malheur à nous ! Malheur à l'homme ! Il est venu, le... le... comment se nomme-t-il... le ... il semble qu'il me crie son nom, et je ne l'entends pas... le...oui... il le crie... J'écoute... je ne peux pas... répète... le... Horla...J'ai entendu... le Horla... c'est lui ...le Horla... il est venu !...
Ah! le vautour a mangé la colombe; le loup a mangé le mouton; le lion a dévoré le buffle aux cornes aiguës; l'homme a tué le lion avec la flèche, avec le glaive, avec la poudre; mais le Horla va faire de l'homme ce que nous avons fait au cheval et au boeuf: sa chose, son serviteur et sa nourriture, par la seule puissance de sa volonté. Malheur à nous !
