Comme dans le précédent Austenland, nous repartons avec, en toile de fond, la campagne anglaise. Cette fois-ci, c'est Charlotte Kinder, en proie à un grand mal être suite à son divorce, qui se voit proposer un séjour dans l'univers de
Jane Austen. Elle quitte donc son Amérique natale, ses 2 enfants, son ex-mari égoïste et sa nouvelle petite amie pour tenter de se vider l'esprit. Sur place, le lâcher prise est difficile et à défaut de se laisser charmer par son dévoué Darcy, Charlotte observe et s'interroge sur un certain nombre de mystères qui se cachent derrière la facade noble et lisse d'Austenland et de ses occupants.
A mi chemin entre le roman policier et le roman d'amour, Midnight in Austenland m'a paru un peu plus riche que son prédécesseur et moins cliché. Bien entendu, la fin est un peu prévisible mais la lecture est agréable, pleine d'humour et le personnage de Charlotte, maladroite et manquant de confiance en elle, attachant. A lire pour les amateurs de
Jane Austen en quête de clins d'oeil et pour ceux qui aiment les histoires qui finissent bien!