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Critique de Sabrina1988
Après Elfriede Jelinek et ses Enfants des morts, nouvelle déception Nobel avec Peter Handke et son Colporteur.
L'avantage c'est que celui-ci n'est pas un pavé.
J'ai abandonné ce livre à la fin du chapitre 6 (page 114 sur 185), m'étant déjà fait assez violence pour en arriver là.
Une suite de phrases qui n'ont pas de lien entre elles (enfin pas d'après moi en tout cas) et qui racontent vaguement l'histoire d'un colporteur qui assiste à un meurtre et se fait accuser (c'est la 4ème de couverture qui me l'a appris car en lisant le livre je n'ai même pas pu déceler cette intrigue parmi toutes les phrases enchaînées sans queue ni tête).
Le livre parle d'ordre et de désordre, eh bien là c'était un désordre total qui ne m'a pas donné envie de faire le ménage, ou si, juste pour recycler ce livre ailleurs que dans ma bibliothèque et faire la place à un livre moins abstrait.
L'avantage c'est que celui-ci n'est pas un pavé.
J'ai abandonné ce livre à la fin du chapitre 6 (page 114 sur 185), m'étant déjà fait assez violence pour en arriver là.
Une suite de phrases qui n'ont pas de lien entre elles (enfin pas d'après moi en tout cas) et qui racontent vaguement l'histoire d'un colporteur qui assiste à un meurtre et se fait accuser (c'est la 4ème de couverture qui me l'a appris car en lisant le livre je n'ai même pas pu déceler cette intrigue parmi toutes les phrases enchaînées sans queue ni tête).
Le livre parle d'ordre et de désordre, eh bien là c'était un désordre total qui ne m'a pas donné envie de faire le ménage, ou si, juste pour recycler ce livre ailleurs que dans ma bibliothèque et faire la place à un livre moins abstrait.
