Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire, tome 6 : Ascenseur pour la peur

L'auteur continue de nous prévenir… Si nous sommes trop anxieux de connaître la suite des aventures des orphelins, vaut mieux reposer le livre…

Monsieur Poe trouve les enfants un peu « éteints ». Sont-ils craintifs ? fatigués ? déjà désabusés ? Dans cette nouvelle maison, où ils sont attendus par le couple Eschemizerre, le comte Olaf ne risque pas de venir !
Toutefois, le lecteur sait que ce tortionnaire, qui séquestre le frère et la soeur Beaudraps, va revenir sous une nouvelle identité.

Au boulevard Noir, l'immeuble a 667 étages. C'est au dernier appartement que les enfants sont hébergés par des lointains cousins.
Dans ce quartier huppé, fréquenté par des gens fortunés, des « lubies » dictent la conduite des habitants. La mode est au « in » et le ringard est au « out ». Un jour, le noir est « in » et la lumière est « out »… et le lendemain, suivant l'humeur, une nouvelle extravagance peut enrayer les usages en pratique.
Chers lecteurs, ne cherchez pas à comprendre ! Ainsi va la vie en ces lieux… au rythme du « in » et du « out ».
Pour reprendre le fil de notre triste histoire, en ce jour d'abandon des enfants Baudelaire chez un couple inconnu, non seulement l'électricité ne fonctionne pas, mais en plus l'ascenseur est arrêté. Imaginez… 667 étages à monter ! Face au périple, Monsieur Poe déclare forfait et laisse Violette, Prunille et Klaus à leur destin.

Esmé et Jérôme accueillent les Baudelaire avec gentillesse. Leur appartement est immense. Après les présentations et les directives sur les choses à faire et ne pas faire, le temps d'adaptation évolue dans un certain confort. L'atmosphère est étrange, voire folle, mais agréable. Violette découvre un musée dans une pièce et Klaus est subjugué par la bibliothèque.
Tout semble aller pour le mieux dans cet univers luxueux lorsqu'on arrive à suivre les caprices du « in » et du « out », quand Esmé annonce une nouvelle fantaisie… il faut vendre les vieilles choses. Un commissaire priseur, Gunther, doit venir expertiser le contenu de l'appartement…

Vous savez quoi ou QUI ? et oui… vous voyez juste ! Esmé qui désire vendre les Baudelaire à la prochaine vente aux enchères !!! et Gunther-Olaf qui disparaît dans l'immeuble…
Il y a magouille en la demeure et l'ascenseur devient des oubliettes.

Une lecture toujours aussi abracadabrante où il ne faut pas chercher le bon sens ! Même si l'histoire nous livre des surprises attendues et que le scénario est conforme aux autres épisodes, j'ai eu plaisir à retrouver les Baudelaire dans une de leurs désastreuses aventures. le loufoque et l'absurdité sont les maîtres mots. Au début de la série, étonnée par le style et le thème, j'étais réfractaire. Pour ces derniers tomes, une sympathie s'est développée et la curiosité m'incite à poursuivre. Que va-t-il advenir de ces « pauvres » enfants ? et qui est véritablement Esmé ?

Les orphelins Baudelaire, pour cette nouvelle aventure, retournent dans leur ville natale. Leurs nouveaux tuteurs n'avaient pas voulu les adopter auparavant car les orphelins n'étaient pas "In" mais "Out". Il vont vivre au 667 boulevard noir, un immense immeuble où l'ascenseur est hors-service car il a été déclaré "Out", pas tendance, donc. Tout comme la lumière.

Les orphelins sont contents de revenir dans cette ville mais sont très inquiets. A la fin du tome précédent, le Comte Olaf a enlevé leurs amis, Isadora et Duncan Beauxdraps qui ont juste eu le temps de leur crier "V.D.C" et depuis, ces initiales et leur signification les obsèdent. Les enfants essayent de savoir si le Comte Olaf est à leur trousse et quel est son nouveau plan pour s'emparer de leur immense fortune.


Les nouveaux personnages de l'histoire sont Jerome et Esmé d'Eschemizerre (Squalor en VO, ça peut être important pour la suite), le couple fortuné qui a adopté les orphelins. Si Jerome est un homme sympathique qui apprécie les enfants, Esmé est une personne odieuse qui ne vit que pour l'argent et pour ce qui est tendance ou pas. Gunther est un ami d'Esmé, le commissaire priseur qui s'occupe des Enchères In organisées par Esmé.



Les orphelins essayent de savoir ce que veut dire V.D.C, vivent des choses incroyables dans l'ascenseur, surtout la petite Prunille (c'est là qu'on se rend compte que cette histoire est vraiment une fiction, on verrait mal une aussi petite fille, et même un adulte, faire ce genre de chose) et il vont faire une découverte qui va changer leur vision d'une partie de leur histoire.



Un tome très intéressant avec une grosse révélation pour les orphelins.
Lien : http://lemondedarlavor.blogs..

Si tu viens de prendre ce livre, un conseil: remets-le en place.
Tout comme les précédents volumes des Désastreuses Aventures, il ne contient que désastres et calamités. de quoi nourrir les pires cauchemars, si bien qu'il serait plus prudent, pendant qu'il est encore temps, de choisir une autre lecture. Au cours de cet épisode, aussi vertigineux que sombre, Violette, Klaus et Prunille Baudelaire vont affronter tour à tour un escalier obscur, un souterrain obscur, un cagibi obscur, deux cages obscures, trois initiales obscures, quatre ou cinq trompe-l'oeil et impostures, sans parler d'un repas tout au saumon, ni de divers autres poissons, vrais ou faux.
J'ai fait serment, pour ma part, de relater ces durs moments, afin que le public n'ignore rien des épreuves endurées par ces trois enfants, mais libre à toi, cher lecteur, d'opter pour quelque chose de moins noir. Tu y gagneras sans doute de ne pas t'endormir les yeux rouges.

Je crois que j'ai des pertes de mémoires... J'ai lu ce livre en une seule après midi mais du coup, je n'ai rien retenu de l'intrigue... Il était captivant, je ne l'ai pas lâché mais mon cerveau n'a pas eu le temps de tout assimiler... En tout cas, les orphelins ne sont toujours pas sortis du pétrin...

Malgré le fait que l'histoire se répète encore : les orphelins sont placés chez un nouveau tuteur, le comte Olaf revient déguiser, et ils sont bien les seuls à le voir. Je trouve que l'on commence à avoir beaucoup d'indices sur le mystère qui les entoure, même, si pour l'instant, il ne fait que de s'épaissir.

Et je termine une nouvelle aventure des orphelins Baudelaire.

Pas de grande surprise non plus dans ce tome 6. Les enfants sont confiés à un nouveau tuteur (en l'occurrence le couple d'Eschemizerre) qui, comme tous les autres, sort de l'ordinaire. Pour Esmé et Jérôme, rien n'est plus important que ce qui est « in ». Et ça tombe bien, les orphelins sont « in » en ce moment. Bref.

Pas de surprises donc. Car comme d'habitude, les orphelins vont voir débarquer le comte Olaf sous un nouveau déguisement, comme d'habitude personne ne les croira, et comme d'habitude ils vont devoir s'en sortir tous seuls. Mais ça n'empêche pas ce tome d'être intéressant quand même. Une fois encore, les enfants font preuve d'une grande ingéniosité pour sortir de leurs mauvais pas.

Ce tome-ci est cependant rythmé par deux éléments nouveaux, introduits dans le tome précédent : la recherche des triplés Beauxdraps et V.D.C. Car oui, la disparition des enfants Beauxdraps est l'un des principaux soucis des Baudelaire et une partie de ce tome est dédié à la recherche de leurs amis. Quant à V.D.C, le mystère plane toujours. On sent qu'il y a quelque chose derrière ces initiales, mais l'auteur ne nous en dévoile pas trop, juste ce qu'il faut pour nous intriguer et nous donner envie de creuser.

Une fois encore, la narration de Lemony Snicket est inimitable et toujours aussi délicieuse.

Pour conclure, les tomes se suivent, se ressemblent un peu, mais pas trop non plus. Pas suffisamment en tout cas pour nous inciter à arrêter là notre lecture de cette série. La suite dans la prochaine aventure !

À ce que je vois, on pense toujours qu'il s'agit de fantastique sur Babelio... Et moi de m'exaspérer devant la bêtise humaine.
Bon. L'appartement des Eschemizerre est vaste, immensément vaste, à tel point qu'on a du mal à y croire, même chez Lemony Snicket. Après, il y aura quelques rebondissements, que vous les voyez venir ou non, il faut avouer que l'auteur manie bien sa plume pour nous faire mariner, et qu'il nous cache bien le dernier. Alors, comme d'habitude, le comte Olaf va se déguiser, les tuteurs vont les abandonner. Mais dites-vous que c'est une des dernières fois à présent que la machine VdC a été lancée. du reste, une aventure rythmée, (dé)plaisante et avec comme toujours mêlé à l'humour sa part de mystère... et d'anxiété.

Ce sixième volume ne m'a décidément pas déçue le moins du monde. J'ai retrouvé avec un plaisir enfantin les fabuleux Orphelins Baudelaire et je me suis délectée de leurs aventures.

Les actions sont quelque peu redondantes d'un volume à l'autre et il est vrai que certains éléments sont prévisibles mais malgré tout je ne me lasse pas de cette saga. À mes yeux, il est bon de la découvrir en s'imaginant ce qu'on en aurait pensé si on l'avait lu lorsque nous étions enfants.

Le mystère plane et devient insoutenable. J'ai hâte de découvrir la suite des aventures de nos malheureux Orphelins Baudelaire et de leurs nouveaux camarades Beauxdraps. J'espère que de nombreuses surprises sont encore à prévoir.

Suite aux évènements des tomes précédents, nous retrouvons Violet, Klaus et Prunille alors que l'inefficace Mr Poe les confie à leurs nouveaux tuteurs, Jérôme et Esmé, qui vivent au dernier étage d'un gigantesque et luxueux immeuble. Les orphelins devront cette fois faire face à l'obsession de leur nouvelle tutrice pour tout ce qui est branché et donc se passer d'ascenseur, puisque ce n'est pas à la mode. Bien sûr le sinistre comte Olaf ne tarde pas à faire son apparition et les enfants devront une fois encore trouver le moyen de lui échapper.

Ce tome est dans la continuité des précédents et est construit sur le même schéma: nouvelle maison pour les enfants – intervention d'Olaf – tentatives infructueuses pour ouvrir les yeux des adultes – les orphelins doivent trouver le moyen de s'en sortir par eux-mêmes. Je reconnais qu'après 6 tomes, ça devient lassant… Mais avec cette 6e aventure, j'ai décidé de prendre le côté irréaliste de la chose comme une simple satire de la société et de me concentrer sur le fond de l'intrigue. Et ce fond est meilleur qu'on aurait pu l'espérer, car des détails distillés ça et là se font jour et permettent de lier des indices entre eux. Une intrigue à long terme (il y a 13 tomes, quand même!) se dessine lentement, mais sûrement. Il était temps!
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Cela fait environ deux semaines que j'ai lu le tome 1, puis j'ai enchaîné avec les suivants jusqu'à celui-ci. Vite emportée par l'histoire de ces 3 orphelins, je n'ai pas pu arrêter. Puis un autre livre m'a fait abandonnée la lecture de celui-ci. Et je ne l'ai jamais reprise. Parce qu'au fond, c'est toujours la même histoire. Donc, soit on s'accroche et on les lit tous d'affilés, soit on abandonne ces orphelins. Ce que j'ai fait. L'histoire est trop répétitive et je ne reprendrai certainement pas cette lecture. Je ne connaîtrais jamais la fin. Mais vu le titre du dernier tome: La fin, je ne sais pas si je vais manquer grand chose. Navrée.