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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ce 8e tome amorce selon moi un petit déclin dans la série Baudelaire. En effet, je n'arrive pas à accrocher au contexte, celui de la Clinique, des Archives, des Volontaires. Pourtant, l'humour du narrateur est toujours présent. On a ainsi le droit à une D.R.H complètement tyrannique et décalée, des Bénévoles hospitaliers joyeux mais d'aucune aide et à un service d'Archives où il ne faut surtout, surtout pas lire les dossiers... Mais vraiment, le contexte, je n'accroche pas, sans réellement comprendre pourquoi.
Hormis ce point, ce tome 8 a une narration à l'identique des 7 premiers tomes. le sort s'acharne toujours autant sur les Baudelaire et les secrets commencent à devenir légion. . Ainsi, les mystères pullulent, les questionnements aussi, ce qui nous laisse espérer des réponses à nos questions.
Le tome 8 est également le moment où l'on commence à voir vraiment Prunille grandir. Commençant à marcher à la fin du tome 7, son langage se passe de plus en plus de traduction, un petit point cohérent même si les aptitudes Baudelaire sont généralement très invraisemblables ( un bébé aux dents de castor et à l'intelligence d'un intelligence? Non mais vraiment Mr Snicket... )

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Ce tome reste avant tout agréable à lire, et plein de rebondissements. Quelques révélations sont faites sur Snicket et les parents Baudelaire, ainsi que sur les incendie.
Les orphelins sont poursuivis sans relâche dans ce tome, et il sont réellement seuls, comme dit précédemment. En fait, quand on prend du recul, on se rend compte que la situation empire pour eux : Contexte effrayant donc, autant pour des enfants que pour tous, comme si cela était un spectacle. Rappelons qu'Olaf est un comédien…

Au vu du ton de l'auteur, qui alterne entre la désinvolture autant que l'implication poussée dans l'histoire, le lecteur a du mal à réaliser que ce qui se passe dans ce tome, au final, on oublie que ce sont des enfants, dont un bébé. Et quand on y pense, le titre de la saga prend tout son sens, l'auteur nous conte vraiment les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire.
En parlant de l'auteur, je ne sais pas où cela mènera, mais j'ai apprécié le lien avec le nom de l'auteur et un nom de personnage important pour les Baudelaire. Pour le coup, c'est une intrigue supplémentaire, intéressante et originale que d'impliquer le locuteur à l'histoire. (Enfin, je suppose qu'il est impliqué puisqu'au sein même des romans, il parle à la première personne et se permet de faire des commentaires subjectifs, et surtout, se présente comme l'unique personne à pouvoir raconter les mésaventures des Baudelaire.)

En bref, j'ai pris conscience des malheurs des orphelins dans ce tome « leur pire épisode » comme le dit Lemony Snicket dans la quatrième de couverture, où pour la première fois ils se retrouvent seuls au monde et c'est le cas de le dire.
Lien : http://mespetitsbouquins.wor..
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Suite des 3 malheureux Baudelaire...
Cette fois-ci, pas du tuteur, mais leur cavale commence (ils sont accusés de meurtre rien que cela !).
Le tome 7 annonçait déjà un renouveau et le tome 8 le confirme, l'intrigue avance un peu et c'est beaucoup moins redondant...
En plus ,la fin de ce tome donne très envie de lire la suie...
En avant pour le neuvième opus...
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La série noire continue, pour ma plus grande jubilation. Ce tome... Disons qu'il ne sort pas du lot mais qu'il a le mérite de faire encore avancer l'histoire. Parlons également un peu de l'humour toujours bien présent avec cette fameuse affaire de saut à l'élastique, ou encore de l'ironie déployée autour de la vision du monde en guimauve et carton-pâte des Dérideurs.
En somme, s'il y a bien une qualité en plus dans ce roman, c'est le fait que le suspense y soit déployé avec une qualité qu'on n'avait plus vue depuis le fameux "Cauchemar à la scierie". du reste, rien qui ne change, à notre grand plaisir, ou déplaisir, c'est selon.
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Les aventures des orphelins Baudelaire se poursuivent et voilà qu'après avoir échappé de justesse au comte Olaf dans le village de VDC, ils trouvent refuge dans un hôpital. Un drôle d'hôpital d'ailleurs, avec des services étranges. Un hôpital-archives même, puisqu'il semble conserver des archives sur absolument tous les sujets, et pas seulement ceux du domaine médical.

Encore une fois, nos orphelins vont devoir faire preuve d'adaptation et d'imagination pour échapper au comte Olaf et à ses sbires, mais pas seulement. Désormais pointés du doigt par le journal du coin, le petit pointilleux, comme étant des assassins, ils se retrouvent à devoir cacher leur identité à tous ceux qu'ils croisent. Et comme si tout cela ne suffisait pas, ils continuent à enquêter sur VDC, ces trois lettres qui semblent les poursuivre et qui, rappelons-le, ont été identifiés par les Beauxdraps comme étant un élément important lié à leurs mésaventures.

Ce tome-ci reste donc dans la lignée des précédents, mais chaque tome me semble désormais plus intéressant que les premiers parce que depuis l'apparition de VDC, chacun nous apporte son lot de révélation. Et c'est une grosse révélation que nous offre ce tome 8, attention !

J'ai également noté quelque chose de nouveau dans ce tome-ci par rapport aux précédents : c'est la première fois qu'on ne voit pas le comte Olaf. Je veux dire, il est là, bien sûr, mais les seules traces de sa présence sont sa voix qui sort d'un interphone de façon régulière. En dehors de ça, nous avons seulement affaire à ses acolytes. Ils sont tous là d'ailleurs, Esmé, les dames poudrées, le chauve, l'homme au crochet, l'homme montagne, aucun ne manque à l'appel.

Vous l'aurez compris, les mésaventures des orphelins baudelaire sont toujours aussi passionnantes et ne sont pas encore terminées, après tout, on ne sait toujours pas ce qu'est VDC !


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