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Je poursuis mon aventure avec les orphelins Baudelaire. Et avec un peu plus d'enthousiasme depuis le tome sept, je l'avoue. Déjà parce que le schéma habituel que l'auteur nous sert depuis le début : placement des enfants, arrivée du comte, embrouilles, replacement des enfants à quelque peu changé. Je dis quelque peu parce que nous n'y trompons pas, c'est un peu du bis repetita tout de même.

Klaus, Prunille et Violette se retrouve donc pour une fois face à eux-mêmes, sans adulte pour les « chaperonner » et un peu beaucoup dans la mouise. Enfin, plus que d'habitude parce qu'ils sont quand même accusés du meurtre du comte Olaf… Qui n'est pas mort, bien entendu… le trio doit donc se montrer encore plus inventif et surtout arriver à résoudre le fameux mystère de V.D.C. Un point important car ce mystère relance profondément l'intérêt que j'ai pour la saga. Il reste cinq tomes cependant et je pense que l'auteur va se donner un malin plaisir à faire durer tout cela, mais bon, maintenant on a l'habitude.

Pour ce tome huit, les enfants se retrouvent donc dans une clinique et plus particulièrement aux archives de la clinique. Nous sommes toujours dans une sorte de non-sens car, soyons honnêtes, la salle des archives est en fait : 1- ce que cherchait les enfants désespérément (comme c'est pratique…), 2 – n'a rien à voir avec la clinique en elle-même. Un peu tiré par les cheveux mais au moins, on avance… un peu… L'absurdité se poursuit avec ces adultes qui sont vraiment des imbéciles de première, des situations assez rocambolesques et des événements tirés par les cheveux. Mais si comme moi, vous en êtes au tome huit, c'est une habitude maintenant. Oui, peut-être mais j'arrive à un point où cela devient pénible. J'entends par là que l'auteur dénigre les adultes constamment. Les romans ont un public jeunesse, donc je suis d'accord avec le principe de mettre les héros qui sont des enfants en avant. Mais, l'intérêt assez grotesque au final de cet acharnement sur les « grands » n'a pas vraiment de sens…

L'histoire va tout de même bon train et il est appréciable de voir les enfants dans des circonstances qui les poussent dans leur retranchements. Ils en viennent à prendre de gros risques mais aussi à commettre des petites choses répréhensibles. Rien de bien grave et c'est pour leur survie mais il y a un traitement de la chose très intéressant.

La présence de l'auteur est encore une fois beaucoup trop prégnante sur le récit. A petite dose, c'est comique et instructif, mais là on arrive à un point où l'histoire est très alourdie par des définitions et des divagations. Passages que j'ai pris l'habitude de sauter, tout simplement.

La fin laisse présager de bonnes choses mais je préfère ne pas trop m'avancer…
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Ce 8e tome amorce selon moi un petit déclin dans la série Baudelaire. En effet, je n'arrive pas à accrocher au contexte, celui de la Clinique, des Archives, des Volontaires. Pourtant, l'humour du narrateur est toujours présent. On a ainsi le droit à une D.R.H complètement tyrannique et décalée, des Bénévoles hospitaliers joyeux mais d'aucune aide et à un service d'Archives où il ne faut surtout, surtout pas lire les dossiers... Mais vraiment, le contexte, je n'accroche pas, sans réellement comprendre pourquoi.
Hormis ce point, ce tome 8 a une narration à l'identique des 7 premiers tomes. le sort s'acharne toujours autant sur les Baudelaire et les secrets commencent à devenir légion. . Ainsi, les mystères pullulent, les questionnements aussi, ce qui nous laisse espérer des réponses à nos questions.
Le tome 8 est également le moment où l'on commence à voir vraiment Prunille grandir. Commençant à marcher à la fin du tome 7, son langage se passe de plus en plus de traduction, un petit point cohérent même si les aptitudes Baudelaire sont généralement très invraisemblables ( un bébé aux dents de castor et à l'intelligence d'un intelligence? Non mais vraiment Mr Snicket... )

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Ce tome reste avant tout agréable à lire, et plein de rebondissements. Quelques révélations sont faites sur Snicket et les parents Baudelaire, ainsi que sur les incendie.
Les orphelins sont poursuivis sans relâche dans ce tome, et il sont réellement seuls, comme dit précédemment. En fait, quand on prend du recul, on se rend compte que la situation empire pour eux : Contexte effrayant donc, autant pour des enfants que pour tous, comme si cela était un spectacle. Rappelons qu'Olaf est un comédien…

Au vu du ton de l'auteur, qui alterne entre la désinvolture autant que l'implication poussée dans l'histoire, le lecteur a du mal à réaliser que ce qui se passe dans ce tome, au final, on oublie que ce sont des enfants, dont un bébé. Et quand on y pense, le titre de la saga prend tout son sens, l'auteur nous conte vraiment les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire.
En parlant de l'auteur, je ne sais pas où cela mènera, mais j'ai apprécié le lien avec le nom de l'auteur et un nom de personnage important pour les Baudelaire. Pour le coup, c'est une intrigue supplémentaire, intéressante et originale que d'impliquer le locuteur à l'histoire. (Enfin, je suppose qu'il est impliqué puisqu'au sein même des romans, il parle à la première personne et se permet de faire des commentaires subjectifs, et surtout, se présente comme l'unique personne à pouvoir raconter les mésaventures des Baudelaire.)

En bref, j'ai pris conscience des malheurs des orphelins dans ce tome « leur pire épisode » comme le dit Lemony Snicket dans la quatrième de couverture, où pour la première fois ils se retrouvent seuls au monde et c'est le cas de le dire.
Lien : http://mespetitsbouquins.wor..
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Suite des 3 malheureux Baudelaire...
Cette fois-ci, pas du tuteur, mais leur cavale commence (ils sont accusés de meurtre rien que cela !).
Le tome 7 annonçait déjà un renouveau et le tome 8 le confirme, l'intrigue avance un peu et c'est beaucoup moins redondant...
En plus ,la fin de ce tome donne très envie de lire la suie...
En avant pour le neuvième opus...
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La traque de nos orphelins Baudelaire par le méchant comte Olaf continue, maintenant dans un rythme nouveau par rapport aux premiers livres de la série. Après avoir réussi à s'échapper du village aux corbeaux, mais recherchés en tant que meurtriers, nos orphelins préférés trouvent refuge dans une clinique, où ils vont avancer encore un peu plus dans l'énigme V.D.C et la mort de leurs parents. Mais devinez qui va débouler et leur faire encore avoir des ennuis ? Comme toujours l'histoire est rigolote et un peu décalée, avec de l'idée, bref, toujours une bonne lecture à partager avec votre pré-ado !
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Une course poursuite à la révélation

On peut dire ce que l'on veut, ici, vous aurez un tome d'action. Les Orphelins Baudelaire sont poursuivis par la Police. Il n'arrive pas à joindre Mr. Poe, ce qui n'est pas surprenant du tout. Aussi, nous voilà avec trois enfants en fuite qui arrivent par hasard dans une clinique aux grandes archives qui pourraient bien intéresser nos deux grands. Evidemment, le Comte Olaf arrive et ce sera reparti pour un tour.

On arrive à faire le lien cette fois ci entre Jacques Snickett et les parents Baudelaire. Et je pense que le Comte Olaf a trempé dans cette sale affaire


Mais que vont-ils devenir ?

Bien entendu, il va falloir qu'ils reprennent du service, qu'ils fuient à nouveau.... Ou pas. Je pense que nos orphelins passeront directement à l'attaque. Ils en ont marre de cette situation et sont bien décidé à en découdre. Aussi Panique à la clinique reste un tome de transition. le grand final viendra après je présume. Il nous faudra donc patienter d'ici là.
Lien : http://labibliodekoko.blogsp..
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13 tomes pour cette série mais je n'ai lu pour l'instant que les 10 premiers.
Les histoires sont destinées aux enfants donc certaines choses peuvent paraître un peu poussées pour les adultes. On est quand même captivé par l'histoire, les livres se lisent vite et c'est très sympa.
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La série noire continue, pour ma plus grande jubilation. Ce tome... Disons qu'il ne sort pas du lot mais qu'il a le mérite de faire encore avancer l'histoire. Parlons également un peu de l'humour toujours bien présent avec cette fameuse affaire de saut à l'élastique, ou encore de l'ironie déployée autour de la vision du monde en guimauve et carton-pâte des Dérideurs.
En somme, s'il y a bien une qualité en plus dans ce roman, c'est le fait que le suspense y soit déployé avec une qualité qu'on n'avait plus vue depuis le fameux "Cauchemar à la scierie". du reste, rien qui ne change, à notre grand plaisir, ou déplaisir, c'est selon.
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Cher lecteur,
Je te conseillerais bien de jeter ce livre à la corbeille. Mais auparavant, tu aimerais peut-être savoir pourquoi. La raison en est qu'il relate le pire épisode à ce jour de la vie des orphelins Baudelaire - leur bref passage dans une clinique véreuse -, ce qui en fait l'ouvrage le plus sinistre jamais publié depuis l'invention de l'imprimerie.
C'est bien simple, dans ce volume, tout est détestable d'un bout à l'autre : un télégramme sans réponse, une opération sans raison, des ballons en forme de coeur, une rengaine à donner la migraine, des chirurgiens qui n'en sont pas et des informations troublantes au sujet d'un incendie. A l'évidence, pareille lecture n'a rien d'une partie de plaisir.
Moi qui ai fait le serment de narrer ce récit sans omettre un seul détail sordide, je suis bien placé pour savoir qu'il ne mérite que la corbeille à papiers, où tu l'as sans nul doute pêché.
Avec mes sentiments respectueux.
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C'est celui que j'ai préféré. Je le relirai très certainement une fois dans un challenge Halloween. L'oncle devient vraiment complètement zinzin à force de poursuivre les orphelins. Ses acolytes sont ras des paquerettes, ça ne l'aide pas à réussir ses plans machiavéliques !
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