AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Darlic


Darlic
21 décembre 2016
Quand un roman est mauvais il l'est jusqu'au bout, sauf qu'ici c'est le cycle tout entier qui l'est. Comme je l'ai déjà dit on m'a offert ces livres, il est certain que si cela n'avait pas été un cadeau je me serais arrêter au premier tome. Pour moi Markus Heitz a donné un sens nouveau au mot "déplorable". Il n' y a rien pour sauver ce cycle qui n'est pas encore fini mais il est certain que là j'arrête les frais. Comme je l'avais dit dans ma précédente critique l'auteur est passé maître dans le fait de se saboté lui même. Exemple : une hache censé détruire le mal qui n'y arrive pas vraiment, des avatars qui en sont pas, un être suprême elfique qui est tout sauf difficile à tuer, une pierre elfique réputé sur puissante qui au final ne fait pas son office pour la protection des royaumes alors qu'elle était décrite infaillible par l'auteur... En résumé l'auteur à un verre de vin qu'il ne cesse de rallonger avec de l'eau et qui au final n'a plus aucune saveur ( bien que son histoire n'en a jamais vraiment eu). Pour moi ces histoires sont tellement prévisible qu'en s'ennuie à tel point que c'est à peine si on ne s'endort pas dessus. Cela aurait pu être améliorer par des personnage charismatique. Mais ces nains sont tellement pitoyable qu'on à envie de pleurer. Pour des néophyte ce type d'histoire peut avoir quelques attraits quand ils ne sont pas trop regardant. Mais pour ma petite bande de compagnons issu des JDR on a tous trouvé ces histoires insipides. Et cette dernière ne fait pas exception à la règle, pourtant une fois de plus j'y ai cru au tout début quand Tungdil revient du gouffre. Et puis comme d'habitude notre auteur reprend ses anciens schéma, avec toujours du téléphoné de A à Z. Avec un sorcier contaminé par le mal, qu'on savait déjà qu'il allait mal tourné dans le précédant bouquin. Pourquoi écrire une histoire où il n'y a aucune surprise ? Je m'interroge encore... Parfois je me dis que certaines maison d'édition édite tout et n'importe quoi, alors que je connais des jeunes auteurs qui font de l'auto-édition car leurs histoires ne cadrent pas avec avec le moule recherché. On vit une bien drôle d'époque où on fait passé le médiocre comme de l'excellence et le prometteur comme une tache obscure qu'on essaye d'effacer.
Commenter  J’apprécie          10



Ont apprécié cette critique (1)voir plus




{* *}