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Citations sur Les Nains, tome 2 : Lame de Feu (12)

Courir en pleine nuit, c’est suspect.
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Ainsi en va-t-il des imposteurs : ils obtiennent trop souvent ce qui ne leur revient pas.
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En haut, il y a les riches, en bas, il y a les pauvres, qui vivent comme ils peuvent, et admirent et haïssent à la fois ceux qui les dominent et qui peuvent s’offrir tout ce qu’ils veulent.
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Pourquoi devrais-je, moi, faire mystère de mon éducation quand vous prouvez à tout bout de champ que vous n’en avez aucune
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Boïndil tenait ses couperets prêts, souhaitant comme toujours les abattre sur un Orc pour passer sa fureur sur lui. Brusquement, son expression changea, et un rictus se dessina sur son visage. Sans poser de question, son frère prit son bec-de-corbin à deux mains.
— Je les sens, chuchota Furibard, excité. Grouïk, grouïk, grouïk !
Il ne fallut pas longtemps non plus à Tungdil pour sentir la graisse rance des armures des Orcs, qui jurait avec l'odeur agréable de mousse, de terre humide et celle, aromatique, des aiguilles des sapins.
— Allons-y, nous devons rejoindre la cité.
— N'importe quoi. Ce que nous devons faire, c'est fendre le crâne de ces bêtes ! le contredit ouvertement Boïndil, submergé par sa folie guerrière. Où êtes-vous, mes petits cochons ? Venez, votre boucher vous attend ! lança-t-il, avant de pousser un long grognement porcin.
Un grognement lui fit écho.
Goïmgar se fit si petit derrière son bouclier qu'il disparut presque.
— Tais-toi, espèce de fou ! fit-il craintif. Ils…Les tintements et les cliquetis d'armure se rapprochèrent. Furibard savourait le moment les yeux fermés.
— Ils viennent juste de franchir l'enclos, dit-il pour traduire aux autres les bruits qu'ils entendaient. Il doit y en avoir… (il tendit l'oreille) vingt ou plus. (Ses mains maniaient les couperets avec impatience.) Ils nous ont repérés. Ils arrivent sur nous.
Brusquement il ouvrit les yeux et lâcha un triple “grouïk” comme pour les appeler. Boëndal adressa un regard à Tungdil comme pour excuser son frère avant de lui emboîter le pas. Peu après, l'acier heurtait l'acier, remplissant la forêt de chocs sonores.
Je n'arrive tout simplement pas à y croire ! Un de ces jours, il perdra toute raison, tant sa forge de vie est brûlante. Tungdil se sentait dépassé par les événements.
— On ne va pas les laisser se battre seuls ? demanda Bavragor d'un air incrédule en brandissant son marteau de guerre.
— Eh bien si, dit Goïmgar, intimidé. Ce sont eux qui ont commencé, qu'ils se débr
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- La glace et l'eau sont tout aussi perfides, leur expliqua Furibard [...] Elles t'attirent, et dès que tu baisses la garde, elles t'engloutissent pour toujours.
- C'est comme le mariage. Dans un premier temps, les femmes cherchent à te prendre dans leurs rets, mais si tu ne t'en dépêtres pas, c'en est fait de ta vie, dit Rodario, forçant la comparaison. Non un homme comme moi est fait pour...
- ...cocufier les autres hommes, se faire rouer de coups et mourir un beau jour des suites d'une maladie vénérienne douloureuse, enchaîna Narmora avec un sourire.
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La facilité avec laquelle certains décident de ne pas aimer tel ou tel peuple m’étonnera toujours
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Voyage pour retrouver des amis, voyage pour anéantir des ennemis, voyage avec la bénédiction de Vraccas et reviens sain et sauf.
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— La mère et la fille ? demanda Furibard en riant.
— Trente-quatre et seize printemps. L’été et le printemps dans le même lit, avec le roi des saisons, dit le comédien, non sans vantardise.
— Plutôt un paysan en rut qui laboure toutes les terres qu’il voit, dit Narmora pour ruiner sa comparaison. Inutile de préciser que la plupart de ces terres lui sont très reconnaissantes pour ses labours, en raison du peu de sillons qu’y creusent leurs propriétaires. À moins qu’elles aient eu pitié d’un si petit soc, poursuivit-elle sur sa lancée. Ses piques détournèrent l’attention de Rodario, qui se tourna vers elle, acceptant la joute oratoire.
— Je suis sûr que tu aurais très volontiers accueilli mon impressionnant araire, très chère Narmora, mais c’est que je choisis mes champs, moi. Je laisse à d’autres le soin de se pencher sur les plaines arides qui ne rapportent que des bleus.
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- Un jour, la roche que je travaillais a réclamé son tribut. Alors que j’étais occupé à donner forme à un bloc, ce morceau de granit fin comme une aiguille s’est planté dans mon œil. Mais Vraccas a béni l’autre et m’a offert en compensation une vision dix fois meilleure de ce côté-là. Dix fois meilleure, tu entends ?! (Il lâcha le Nain chétif en éclatant d’un rire sans joie.) Je distingue les plus petites aspérités de la roche, je vois les pores de ta peau, et je perçois la peur dans ton regard, Barbe-brillante.
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