Autant vous le dire tout de suite, je n'ai pas fini ce livre. Pourquoi? Parce qu'il y a des sujets qui peuvent être abordés avec humour mais quand on commence à dépasser cet humour cela devient limite choquant.
J'ai commencé le livre avec une très bonne impression. Même si les nouvelles tiennent sur deux pages (voir une seule par moment), ça ne m'a pas dérangé. On passe d'un sujet à un autre mais toujours en restant autour du thème de la fin du l'humanité.
L'auteur a bien su mettre le doigt sur les diverses choses qui pourraient causer notre perte: la technologie, la pollution, la maladie, les robots etc. Tout y passe et on remarque aussi quelques réflexions personnelles de l'auteur avec notamment Fifty shades of Grey qui cause des nausées,
Justin Bieber et même le Président.
Le tout est tourné avec pas mal d'humour, noir par moment, mais qui a réussi à me faire grimacer et rire au fil des différentes nouvelles.
Jusqu'au moment où je suis tombée sur LE sujet qu'il faut vraiment traiter avec humour et légèreté et là j'ai trouvé que l'auteur s'était carrément planté.
L'homosexualité est toujours un sujet très délicat d'autant plus avec la loi concernant le mariage qui vient d'être adoptée. L'auteur en a fait une nouvelle nommée: "Un monde idéal où les gays précipitent notre destruction". Déjà là, je n'ai pas ri mais j'ai attendu de voir.
Je suis tout simplement restée bouche bée de voir autant de clichés comme les slips de cuir et les clubs discos mais surtout en lisant les mots "maladie" et "gangrène".
Définitivement, mon humour avait disparu.
La déception est donc d'autant plus grande que ma lecture commençait bien mais pour ma part je trouve que l'humour a ses limites et je préfère m'arrêter là, autant dans ce livre que dans mon avis.
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