si on veut reconstruire sa vie, on évite à TOUT PRIX de le faire dans un bled nommé Lovecraft !
[Petit conseil de Robert Crais à la famille Locke dans l'introduction]
Ça fait que dix minutes. Il est quand même capable de ne pas se tuer pendant dix minutes.
Je crois.
La mort ne donne la clé de rien.
D'après lui[son père], c'était pour me rappeler que la confiance en soi ouvrait toutes les portes. Avec la bonne clé, rien n'est impossible et tout devient à la portée de celui qui blabla blabla. Le sermon classique. Mais bon c'était son truc.
Génial. Me voilà catalogué. Au lycée, on n'est qu'une seule chose. L'athlète. La salope. Le génie. Moi, ce sera la victime.
- Tu sais, s'il m'arrive quelque chose, vous devrez aller vivre à Keyhouse avec Duncan. Vous y serez à l'abri.
- A l'abri de quoi?
- J'en sais rien. De tout. Des abeilles tueuses. Du mal. De la télé-réalité.
Il y a certains fantômes qu'il vaut mieux enfermer à clé.
J’ai beaucoup muri au cours de l’année. Selon moi, il faut sérieusement manquer de confiance en soi pour afficher ses opinions politiques su son tee-shirt.
Ça fait un peu pitié en plus.
Quand on est mort, on glisse d'éclair en éclair, parfois, on va auprès de quelqu'un juste parce qu'on pensait à lui.
Bode… … c’était pour de faux, hein? Cette histoire de clé, de porte et de transformation en fantôme?