Quand on couche avec le Diable, on se réveille en Enfer.
Je sais que les commandants de destroyer doivent se montrer agressifs, mais il y a une sacrée différence entre flirter avec le danger et le ficeler à sa tête de lit pour faire mumuse avec.
Un combat à la loyale résulte toujours d'une piètre planification. Il faut toujours viser un combat déloyal.
La spatiale en temps de guerre : Des semaines d'une insupportable ennui entrecoupées d'instants d'intolérable tension, eux-mêmes ponctués par des secondes d'indicible terreur.
L'un deux, du nom de Shepard, avait tiré sur un krag avec un fusil à pompe. Huit fois. Quand un officier lui avait demandé pourquoi il avait pressé huit fois la détente, il avait répondu : "Je n'avais plus que huit cartouches dans le chargeur.
C'était le bon état d'esprit.
Voyez-vous un meilleur moyen de vous aliéner quelqu'un que vous vous efforcez de convaincre qu'en le traitant d'imbécile ?
Nonobstant l'inévitable plaisanterie qui avait couru dans la flotte, selon laquelle la moitié du Détachement ne savait pas trop si le terme "célérité" désignait une personne connue ou un légume croquant, les gens avaient saisi l'allusion.
“All right, people, the bad guys died. We didn’t. Excellent work. Now, let’s see about getting the old girl back to Lovell Station.”
«Très bien , vous autres , les méchants sont morts . Pas nous . Excellent travail . Maintenant , voyons comment ramener la vieille dame à Lovell Station . "
cet hommage a l'oeuvre de Patrick O'Brian par H. Paul Honsinger figure en remerciement a la fin du fichier Epub que je viens de terminer.
je présente à Patrick O’Brian, dont la splendide série de romans Aubrey/Maturin sur les voyages au long cours durant les guerres napoléoniennes est la plus immédiate source d’inspiration de ce livre, mon éternelle gratitude. J’espère que d’autres volumes suivront. En septembre 2012, quand je me suis assis pour commencer à écrire, mon but ultime était de pondre une série de récits reportant dans l’espace une partie de l’émerveillement, de l’excitation, du réalisme vivace et de l’aventure que les romans marins d’O’Brian communiquent. Si ce livre a transporté le lecteur jusqu’aux confins de l’espace profond ne serait-ce qu’avec un dixième de l’efficacité et de l’autorité avec lesquelles O’Brian parvient à vous conduire à l’Autre Bout du Monde, j’aurai réussi au-delà de toute espérance.
« Tout le monde à l’appareillage ! »
H. Paul Honsinger,
Lake Havasu City, Arizona,
17 mai 2013