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Critique de gonewiththegreen
J'aime beaucoup Yu Hua .
Son écriture , son univers en font un Haruki Murakami de l'Empire du milieu.
Pas de doute ici, dans ce recueil de nouvelles écrites pour la plupart au début de sa carrière d'écrivain, on retrouve cette ambiance onirique .
Pourtant, je suis obligé de reconnaitre que je n'ai pas franchement adhérer à ce recueil, tant sa noirceur devient assommante au fil des pages.
Il n'y a pas de place pour l'espoir , pas, de trace de cet humour, noir certes , qui jalonne habituellement les pages de l'auteur.
Que des morts, des enfants tués par des camions , des êtres désespérés, errants et courant après on ne sait quoi finalement.
Sans doute pas la meilleure façon d'aborder cet écrivain, dont l'écriture brillante est, à mon humble avis, desservie ici par une noirceur trop prégnante.
Son écriture , son univers en font un Haruki Murakami de l'Empire du milieu.
Pas de doute ici, dans ce recueil de nouvelles écrites pour la plupart au début de sa carrière d'écrivain, on retrouve cette ambiance onirique .
Pourtant, je suis obligé de reconnaitre que je n'ai pas franchement adhérer à ce recueil, tant sa noirceur devient assommante au fil des pages.
Il n'y a pas de place pour l'espoir , pas, de trace de cet humour, noir certes , qui jalonne habituellement les pages de l'auteur.
Que des morts, des enfants tués par des camions , des êtres désespérés, errants et courant après on ne sait quoi finalement.
Sans doute pas la meilleure façon d'aborder cet écrivain, dont l'écriture brillante est, à mon humble avis, desservie ici par une noirceur trop prégnante.
