Citations sur La guerre des clans, Cycle I - La guerre des clans, t.. (18)
« (...) Je n’ai pas à te juger, rétorqua Coeur de Feu, qui le vit relever la tête. Quoi que tu décides, je serai toujours ton ami. »
-Coeur de Feu à Plume Grise
-Tu as perdu a dernière fois et tu perdras encore aujourd'hui !
- ça m'étonnerait ! Tu m'as peut être pris mon Clan mais tu ne peux pas me tuer : j'ai plus de vies que toi !
- La vie d'un de nos guerriers vaut dix des tiennes. "
- Aucun chaton ne mérite de mourir de faim, qu'il soit de la ville ou de la forêt."
-Pelage de Givre
La toison argentée brillait dans le ciel telle la rosée du matin sur une fourrure noire
C'était un espoir bien mince, aussi ténu qu'une goutte de rosée scintillant sur un brin d'herbe.
- Espèce d'imbécile ! jeta t-elle, les oreilles couchées en arrière. Qu'es-tu venu faire sur mon territoire ?
- Me noyer ?" suggéra t-il.
Elle agita les oreilles, et le félin roux perçut son amusement.
"Et tu ne peux pas faire ça chez toi ?"
Les moustaches du mâle frémirent.
"Si... mais dans ce cas, qui me sauverait ?"
-Rivière d'Argent et Plume Grise (leur premier échange :))
"Merci de m'avoir sauvé."
Le chat cendré releva la tête.
"Je donnerais ma vie pour toi"
-Plume Grise à Cœur de Feu
-Regarde !
La novice avait pointé le nez vers une chatte qui se promenait dans la forêt. Elle avait une fourrure tachetée de brun clair, le poitrail et les pattes de devant blancs. A en juger par le renflement de son ventre, elle allait bientôt mettre bas.
-Une chatte domestique ! s'écria Nuage Cendré, le poil hérissé. A l'attaque !
Coeur de Feu fut surpris de ne pas ressentir l'irritation qu'il éprouvait toujours envers les étrangers osant pénétrer sur leur territoire. Il avait la certitude que cette intruse ne présentait aucune menace.
Ta prudence est louable, Pomme de Pin. Malgré tout, si le Clan de l'Ombre et le Clan de la Rivière ont conjugué leurs forces, le moment viendra où ils se retourneront contre nous. Mieux vaut se battre maintenant avec un allié que seuls plus tard!
"Nous ne pouvons pas le laisser mourir.
- Pourquoi ?" rétorqua le vétéran.
(...)
- "Parce que, si nous agissons ainsi, nous ne vaudrons pas mieux que lui"
-Croc Jaune