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Critique de elcd
Pour moi c'est le meilleur tome de la série. La mise à mort est effroyablement réaliste et distillée d'entrée, ce qui installe l'ambiance. Puis, l'intrigue se scinde en deux intrigues qui sont élucidées en parallèle. Les coups de théâtre s'enchaînent jusqu'à plus soif jusqu'à la dernière des 570 pages. Enfin, le roman met un peu en sourdine les émois amoureux de l'inspecteur Faraday et du constable Winter. Il nous épargne aussi les relations père-fils sourd-muet qui étaient plutôt ennuyeuses (mais il est vrai qu'il en faut pour tous les goûts).
