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Critique de cicou45
Bon d'accord, l'auteure m'avait bien prévenue de sortir les mouchoirs pour ce troisième et dernier opus mais était-elle réellement obligée de me faire ça ? (bon je ne vous direz pas les causes de on agacement et heureusement qu'elle y est allée mollo en se rattrapant sur la fin afin de ne pas nous laisser un goût trop amer - en raison des larmes j'entends- dans la bouche.
Attention, préparez-vous pour l'envol vers un monde où tout ce que vous avez toujours cru connaître n'existe pas ou plus, jusqu'à l'humanité en tant que forme physique d'existence elle-même n'existent pas ou plus..
Ici, nous retrouvons notre héroïne adorée, Vénus Myr Garcia, devenue dorénavant une HA 8.0 (Humaine Améliorée) devenue beaucoup plus influente depuis qu'elle ne vit plus dans "les boyaux" mais là où il fait bon vivre, là où réside le président Atlas et tous ceux qui ont assez de crédits pour pouvoir se pavaner dans de beaux appartements et se payer sans cesse de nouvelles améliorations concernant leur aspect physique. C'est ce qui a attiré Vénus au départ, comme tant d'autres avant elle mais elle se rend compte que cela ne l'a amené qu'à devoir faire d'énormes sacrifices, à trahir ceux qu'elle aime, jusqu'à se perdre elle-même !
Dans ce troisième volet, l'on découvre toutes les atrocités qu'elle a du faire, parfois contre son gré mais en croyant que cela était juste pour parvenir à créer un monde où il n'y aurait plus de souffrances puisque plus de corps physique mais uniquement des données informatiques transportant l'âme de ceux qui continuent à vivre et sont devenus pour ainsi dire immortels mais est-ce au fond réellement une bonne chose. Vénus en vient à douter, si elle s'était fourvoyée depuis le début ? Si en perdant Harry, le seul homme qui ait jamais réellement compter dans sa vie (en dehors de Nicko mais étant donné que ce dernier est avant tout son meilleur ami et ce, de très longue date, cela va de soi), elle se rendait compte enfin de toutes les erreurs qu'elle a commises et ce pour quoi ? Pour un peu de strass et de paillettes ? Cela en valait-il vraiment la peine ?
Un troisième tome à la hauteur des précédents et je ne peux donc que vous recommander vivement cette trilogie car, même si j'ai dit dans le début de cette critique que l'auteure, Célia Ibanez, avait le don de nous faire pleurer (particulièrement ici), elle possède également celui de nous offrir du rêve ! A découvrir !
Attention, préparez-vous pour l'envol vers un monde où tout ce que vous avez toujours cru connaître n'existe pas ou plus, jusqu'à l'humanité en tant que forme physique d'existence elle-même n'existent pas ou plus..
Ici, nous retrouvons notre héroïne adorée, Vénus Myr Garcia, devenue dorénavant une HA 8.0 (Humaine Améliorée) devenue beaucoup plus influente depuis qu'elle ne vit plus dans "les boyaux" mais là où il fait bon vivre, là où réside le président Atlas et tous ceux qui ont assez de crédits pour pouvoir se pavaner dans de beaux appartements et se payer sans cesse de nouvelles améliorations concernant leur aspect physique. C'est ce qui a attiré Vénus au départ, comme tant d'autres avant elle mais elle se rend compte que cela ne l'a amené qu'à devoir faire d'énormes sacrifices, à trahir ceux qu'elle aime, jusqu'à se perdre elle-même !
Dans ce troisième volet, l'on découvre toutes les atrocités qu'elle a du faire, parfois contre son gré mais en croyant que cela était juste pour parvenir à créer un monde où il n'y aurait plus de souffrances puisque plus de corps physique mais uniquement des données informatiques transportant l'âme de ceux qui continuent à vivre et sont devenus pour ainsi dire immortels mais est-ce au fond réellement une bonne chose. Vénus en vient à douter, si elle s'était fourvoyée depuis le début ? Si en perdant Harry, le seul homme qui ait jamais réellement compter dans sa vie (en dehors de Nicko mais étant donné que ce dernier est avant tout son meilleur ami et ce, de très longue date, cela va de soi), elle se rendait compte enfin de toutes les erreurs qu'elle a commises et ce pour quoi ? Pour un peu de strass et de paillettes ? Cela en valait-il vraiment la peine ?
Un troisième tome à la hauteur des précédents et je ne peux donc que vous recommander vivement cette trilogie car, même si j'ai dit dans le début de cette critique que l'auteure, Célia Ibanez, avait le don de nous faire pleurer (particulièrement ici), elle possède également celui de nous offrir du rêve ! A découvrir !
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