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Critique de JML38


Dans « Ce que savait la nuit » apparaissait pour la première fois un nouveau personnage d'Arnaldur Indridason : Konrad, policier à la retraite.
J'étais resté un peu sur ma faim au niveau de l'intrigue, mais la personnalité de cet enquêteur m'avait séduit.

Pour Konrad, le souvenir de sa femme Erna, médecin décédée d'un cancer, est toujours bien présent, mais c'est surtout la mort d'un père dont l'assassinat n'a jamais été résolu qui le hante fortement dans cet opus.
À la demande d'amis de son épouse, il se lance un peu à reculons à la recherche de leur petite fille aux mauvaises
fréquentations liées à un trafic de drogue.

Décidé à en savoir plus sur son histoire familiale, il retrouve une médium, fille d'un ancien associé peu scrupuleux de son père. Persuadée qu'une fillette retrouvée noyée des années auparavant n'a pas trouvé la paix, elle obtient de Konrad de l'aide pour remuer un lointain passé, arrivant même à l'intéresser, de même que le lecteur, au destin d'une vieille poupée.

L'auteur propose à travers deux intrigues brillamment construites et n'ayant en apparence aucun lien entres elles, une atmosphère étrange, parfois émouvante, dans une histoire où chacun doit affronter ses propres fantômes.
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