Pas le même impact qu'à la première lecture. J'avais tremblé, je réfléchis. Je me demande si ce roi qui meurt, ce n'est pas Dieu, si ce texte n'est pas une parabole. La reine s'appelle Marie... La terreur de la mort, juste elle, il y a quelques années, un peu de comique aujourd'hui, dans les répliques du garde, dans la naïveté de Juliette, dans les délires du roi. Marguerite est-elle la mort, la faucheuse, une allégorie ? Sans doute est-ce parce que la mort de Dieu, ou sa vie, son existence, toutes ces questions qui me torturaient, se sont éloignées. Sans doute relirai-je ce livre et retrouverai-je son impact quand je saurai que c'est vraiment la fin.
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