Mages, tome 3 : Altherat

Goddrik était sans doute ce qui se faisait de pire en termes de monarque. Je le qualifierais de petite pute vicieuse égocentrique et je pèse mes mots... chacun...

- Mais dites-moi... entre nous. Si vous étiez amené à le tuer, pour quelle raison commettriez-vous l'irréparable ?
- Pour sauver ses futures victimes !

Souvent, celui qui remporte la mise, c'est celui qui ose. Essayer, parfois, c'est réussir.

J'aime à penser que l'amour est plus fort que la mort. Que l'amour n'est pas un lien entre deux corps mais qu'il s'agit de quelque chose de plus profond, une connexion entre deux âmes.

Comment tuer ce qui est mort et inlassablement se relève ?

Dame Mort est dure en affaires.
Elle ne donne rien gratuitement.
C'est un troc.
Et les promesses ne servent à rien.
Il convient de lui donner ce qu'elle exige.

La mort n'a pas de sentiments. La mort prend et ne rend pas.
Du moins, elle ne rend pas dans l'état dans lequel elle prend.

Parfois les hommes qui ont peur préfèrent la dissimuler derrière une apparente vanité.

Y a-t-il un sens à nos vies ou est-ce nous qui leur donnons un sens ?

L'imbécile obtus s'obstinait en ne visant qu'un but à la fois sans préparer le coup suivant.