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Critique de mh17
J'avais beaucoup aimé le jour de la gratitude au travail (2006) qui avait valu à son autrice le prix Akutagawa. Elle portait un regard acéré et mordant sur le monde de l'entreprise au Japon. Cette nouvelle de 2005 découverte sur le site nouvellesdujapon évoque le sort peu enviable d'un NEET (Not in Education, Employment, or Training – ni étudiant, ni employé, ni stagiaire). La voix est forte, vigoureuse et sensible.
La narratrice qui s'adresse à lui est d'une humeur massacrante d'abord à cause de sa carie du bas (au fond à droite) mais aussi à cause du mouron qu'il lui cause. La dernière fois qu'ils se sont vus c'était il y a deux ans et elle avait déjà une rage de dents. Ils avaient gardé le contact par mail et puis peu à peu..Et là elle tombe sur son blog. Il passe ses journées enfermé dans sa chambre, menacé par les recouvreurs de dettes, les coupures d'eau, d'électricité...sans aucune aide sociale. Avant c'était elle la NEET. Elle payait le loyer avec l'argent de ses parents. Elle est devenue une romancière à succès, elle veut l'aider, mais comment faire sans l'offenser ? Elle lui écrit un mail...
La narratrice qui s'adresse à lui est d'une humeur massacrante d'abord à cause de sa carie du bas (au fond à droite) mais aussi à cause du mouron qu'il lui cause. La dernière fois qu'ils se sont vus c'était il y a deux ans et elle avait déjà une rage de dents. Ils avaient gardé le contact par mail et puis peu à peu..Et là elle tombe sur son blog. Il passe ses journées enfermé dans sa chambre, menacé par les recouvreurs de dettes, les coupures d'eau, d'électricité...sans aucune aide sociale. Avant c'était elle la NEET. Elle payait le loyer avec l'argent de ses parents. Elle est devenue une romancière à succès, elle veut l'aider, mais comment faire sans l'offenser ? Elle lui écrit un mail...
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