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Citations sur Les Sentinelles, tome 1 : Forgé dans le sang (15)

-Peut-être que vous avez un tout petit brin de charme, reconnut-elle à contrecœur.
Le péché à l'état pur couvait dans ses yeux noisette.
-Je n'ai rien de petit, Callie. laissez-moi vous le prouver.
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Ça avait débuté quand il avait à peine cinq ans et avait compris que ses frères étaient destinés à devenir les héritiers de son père alors qu’il était condamné à une existence oppressante au milieu de nulle part, entouré par des serfs superstitieux qui, après avoir jeté un regard à ses yeux singuliers, avaient affirmé que sa mère avait couché avec un démon.

Les péquenauds ignorants.

Il avait été assez facile de se débarrasser de Boris et Viktor. Ces deux-là s’étaient comportés comme des tyrans impitoyables avec lui, mais avaient aussi été bêtes comme des pots. Et dès que Zak avait commencé à entrer en possession de ses pouvoirs, ça n’avait été qu’une question de temps avant qu’il puisse les mettre dans la tombe.

Il s’était occupé de Boris tout simplement en faisant apparaître sa défunte maîtresse dans les bois. L’idiot était tombé de cheval de stupeur et s’était cassé le cou. Pour Viktor, ça s’était révélé un peu plus compliqué, mais Zak avait trouvé par hasard le corps d’un braconnier qui avait récemment été tué et s’en était servi pour éloigner Viktor des écuries et lui tordre le cou.

Il n’avait jamais songé que son père refuserait de faire de lui son héritier. Après tout, il était le seul fils survivant.

Mais le salopard avait informé Zak avec froideur qu’il ne permettrait jamais qu’un sale gosse difforme prétende à son titre.

Cette fois, Zak avait pris les choses en mains, littéralement, étranglant son père avant de cacher le corps. Quelques heures plus tard, il avait utilisé ses pouvoirs pour s’assurer que son père apparaissait le temps de proclamer officiellement Zak son héritier, puis il avait laissé son cadavre s’écrouler au sol
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— Ce n’est pas vous qui lui avez foutu une trouille bleue, mais vous la perturbez chaque fois qu’elle est obligée de travailler avec vous.

La perturber ? Comment pourrait-il bien… ah ! Cette fois, son sourire était sincère.

Ainsi, la devineresse adorable et si distante que ça en était frustrant n’était pas complètement indifférente à lui.

Dieu merci.
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Duncan n’était pas un type du genre sentimental.
Ou du moins… il ne s’était jamais pensé comme quelqu’un de sentimental. Pas avant Callie Brown.

Allongé sur le côté, il observait la petite femme pelotonnée près de lui. Il était éveillé depuis des heures, enchanté par la vision de Callie endormie dans ses bras. [...]
Il avait tenu à Susan. Vraiment. Mais cette femme…

Elle s’emboîtait en lui avec une perfection absolue. Comme deux pièces de puzzle qui avaient enfin été assemblées. Là, vous voyez ? Sentimental.
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L’amour n’était pas une question de fleurs, d’anniversaires qu’on se rappelait ni de voyages surprises à Paris.

Non que toutes ces attentions ne soient pas agréables.

Mais c’était les petits gestes quotidiens pleins de prévenance qui donnaient à une femme le sentiment d’être appréciée.

Aimée.
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- Cette alchimie n'a rien à voir avec un don quelconque, (il fit remonter les doigts sur l'arrière de ses cuisses, et sa peau se couvrit de chair de poule). Mais avec le destin.
Son coeur qui battait la chamade s'arrêta complètement.
Le destin.
Un truc si dangereux.
- Comment ça?
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 — Qu'est-ce qui te fait penser que je vais mal le sans surprise, d'un ton hargneux.
— Tu es un homme.
À cette accusation brutale, il la regarda fixement, puis il esquissa un sourire contrit.
— Bien vu, marmonna-t-il, lui effleurant la joue des doigts. Raconte-moi. 
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D'un mouvement rapide, il lui bloqua le passage et lui saisit les bras avec délicatesse.
-Il est tard, protesta-t-elle, sentant son cœur palpiter à la douceur de son étreinte. On pourra parler demain matin.
Il baissa les yeux sur son visage, s'attarda sur ses lèvres avant de croiser son regard circonspect.
-Tu as raison.
-Ah oui?
-Je ne veux pas parler.
Elle frissonna. La chaleur de ses doigts lui brûlait la peau, lui envoyant des décharges électriques sensuelles à travers le corps.
-Ducan, souffla-t-elle.
Elle vit ses yeux entrouverts jeter un éclat doré à la lumière tamisée du plafond.
-Je peux te serrer dans mes bras?
Elle humecta ses lèvres sèches.
-Quoi?
Il lui caressa le bras.
-On est tous les deux fatigués et plus qu'un peu terrifiés.
-Exact.
-Je n'ai pas envie de rester seul cette nuit.
-C'est encore ton baratin à deux balles?
-Pas cette fois.(Son expression était d'une étrange gravité).Je veux juste te sentir dans mes bras pendant mon sommeil.
A ces simples mots, son cœur manqua un battement. Elle n'avait jamais rencontré d'homme qui désirait juste la serrer contre lui. En fait, la plupart des hommes qui étaient prêts à coucher avec elle auraient été horrifiés à l'idée de partager son lit.
Après tout elle scrutait l'esprit des morts.......
Pourquoi ne devrait-elle pas savourer quelques heures enveloppée dans les bras de ce flic superbe et sexy à tomber?
Elle esquissa un petit sourire.
-Je n'ai pas de nuisette.
Elle vit une émotion indéfinissable briller un instant dans ses yeux noisette quand Ducan se déplaça pour la soulever du sol avec une rapidité qui aurait rivalisé avec celle d'une Sentinelle.
-Ce n'est pas grave, dit-il d'une voix rauque en se dirigeant vers la chambre. Moi non plus.......
-Je ne crois pas que tu portes de nuisettes.
-Une de ces nuits, je te montrerai exactement ce que je porte ou non, lui promit-il avec un grand sourire coquin....
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 — Duncan.
— Ne t'en fais pas, ma puce, s'empressa-t-il de lui assurer. J'ai beau me comporter parfois comme un homme des cavernes, j'ai parfaitement conscience que je ne peux pas te traîner jusque dans ma grotte.
— Pas si tu veux garder tes bijoux de famille. Il tressaillit. 
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Il avait passé la majeure partie de sa vie à être conscient que les femmes le trouvaient irrésistible. Ignorer si Callie avait ne serait-ce que remarqué qu’il était un homme le mettait hors de lui.
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