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Critique de TableRonde
Suite et fin de l'aventure égyptienne de Blake et Mortimer.
Quand je dis fin, c'est presque faux, car la correspondance qu'ils échangeront dans leurs vieux jours - sous la plume de Convard et le dessin de Juillard -, les fera revenir, du moins en souvenir, sur le plateau de Gizeh.
Bien sûr, pour lire cet album, on ne peut pas faire l'économie du premier volet. Celui-ci doit même être encore fraîchement en tête, lorsqu'on aborde cette seconde étape.
La lutte entre Mortimer et Olrik s'accentue.
Il y aura un naja, des crocodiles (sur le bord du Nil, ils sont partis n'en parlons plus ...), des rafales de tout type ; la guerre y est sans merci.
Les héros rentreront et resteront dans les entrailles égyptiennes pendant 23 pages, un gros tiers du volume. Ce n'est pas rien. Certes, ce sera pire dans l'Atlantide !
Les couleurs y sont absolument sublimes. L'auteur avait un génie indéniable dans ses mises en couleurs, avec les jeux de lumières ocres.
Encore une chose, il y a quelques petits lustres, la théorie de Jacobs est revenue au centre de l'actualité lors de recherches dans les pyramides. Comme quoi ?
Bref, par Horus demeure !
Quand je dis fin, c'est presque faux, car la correspondance qu'ils échangeront dans leurs vieux jours - sous la plume de Convard et le dessin de Juillard -, les fera revenir, du moins en souvenir, sur le plateau de Gizeh.
Bien sûr, pour lire cet album, on ne peut pas faire l'économie du premier volet. Celui-ci doit même être encore fraîchement en tête, lorsqu'on aborde cette seconde étape.
La lutte entre Mortimer et Olrik s'accentue.
Il y aura un naja, des crocodiles (sur le bord du Nil, ils sont partis n'en parlons plus ...), des rafales de tout type ; la guerre y est sans merci.
Les héros rentreront et resteront dans les entrailles égyptiennes pendant 23 pages, un gros tiers du volume. Ce n'est pas rien. Certes, ce sera pire dans l'Atlantide !
Les couleurs y sont absolument sublimes. L'auteur avait un génie indéniable dans ses mises en couleurs, avec les jeux de lumières ocres.
Encore une chose, il y a quelques petits lustres, la théorie de Jacobs est revenue au centre de l'actualité lors de recherches dans les pyramides. Comme quoi ?
Bref, par Horus demeure !
