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Critique de thegourmetreader
J'ai lu DEUIL de Peter James paru chez Bragelonne terreur
Quand l'actrice Gloria Lamarck se suicide, elle laisse derrière elle son fils Thomas complètement perdu et ivre de vengeance.
Tout était de la faute du docteur Michael Tennant, le psychiatre qui la suivait: s'il avait prêté une plus grande attention à sa mère, elle serait toujours en vie.
Désemparé, il décide alors de lui rendre la pareil: commence alors le long cauchemar du docteur Tennent…
L'histoire avait tout pour me tenir en haleine jusqu'à la dernière page: le personnage dérangé de Thomas était très abouti dans sa démence emplie de tristesse et au fur et a mesure que l'on avance de la lecture, on découvre la genèse du personnage et on en vient même à éprouver une certaine sympathie pour lui.
Ce qui m'a le plus déranger dans ce livre n'était pas le personnage du psychopathe mais celui du médecin.
Le docteur Tennent, dont la stabilité mentale reste à désirer, exerce toujours après le traumatisme qu'il a vécu et semble ennuyé plus qu'autre chose quand il s'agit de recevoir ces patients.
Il fait la rencontre d'une jeune femme, Amanda, qui est prise pour cible et enlevée par Thomas.
Jusque la tout va bien, mais ce qui m'a dérangé dans ce personnage c'est qu'il n'était pas du tout crédible: les sentiments exacerbés et la stupeur qu'il montre suite à la disparition d'Amanda sont tout sauf normaux, pour ne pas dire que ca sonnait faux.
L'auteur a bien trop développé le personnage du psychopathe qu'il en a négligé celui du médecin, et je trouve ca dommage car l'histoire aurait été bien plus intéressante il avait passé moins de temps sur ces passages où l'on est plongé en plein effroi de l'amoureux transit et développé celui de l'inspecteur Glen.
En bref, l'histoire aurait été plus captivante s'il avait développé la relation malsaine/toxique entre Thomas et sa mère et moins sur Tennent et son amourette naissante.
Je remercie chaleureusement les éditions Bragelonne pour l'envoi de ce service presse.
Quand l'actrice Gloria Lamarck se suicide, elle laisse derrière elle son fils Thomas complètement perdu et ivre de vengeance.
Tout était de la faute du docteur Michael Tennant, le psychiatre qui la suivait: s'il avait prêté une plus grande attention à sa mère, elle serait toujours en vie.
Désemparé, il décide alors de lui rendre la pareil: commence alors le long cauchemar du docteur Tennent…
L'histoire avait tout pour me tenir en haleine jusqu'à la dernière page: le personnage dérangé de Thomas était très abouti dans sa démence emplie de tristesse et au fur et a mesure que l'on avance de la lecture, on découvre la genèse du personnage et on en vient même à éprouver une certaine sympathie pour lui.
Ce qui m'a le plus déranger dans ce livre n'était pas le personnage du psychopathe mais celui du médecin.
Le docteur Tennent, dont la stabilité mentale reste à désirer, exerce toujours après le traumatisme qu'il a vécu et semble ennuyé plus qu'autre chose quand il s'agit de recevoir ces patients.
Il fait la rencontre d'une jeune femme, Amanda, qui est prise pour cible et enlevée par Thomas.
Jusque la tout va bien, mais ce qui m'a dérangé dans ce personnage c'est qu'il n'était pas du tout crédible: les sentiments exacerbés et la stupeur qu'il montre suite à la disparition d'Amanda sont tout sauf normaux, pour ne pas dire que ca sonnait faux.
L'auteur a bien trop développé le personnage du psychopathe qu'il en a négligé celui du médecin, et je trouve ca dommage car l'histoire aurait été bien plus intéressante il avait passé moins de temps sur ces passages où l'on est plongé en plein effroi de l'amoureux transit et développé celui de l'inspecteur Glen.
En bref, l'histoire aurait été plus captivante s'il avait développé la relation malsaine/toxique entre Thomas et sa mère et moins sur Tennent et son amourette naissante.
Je remercie chaleureusement les éditions Bragelonne pour l'envoi de ce service presse.
