Rien à voir avec l'Alexandre Jardin que l'on connaissait, écrivain de romans plutôt légers qui n'étaient pas trop ma tasse de thé. Mais en lisant la quatrième de couverture, j'ai décidé de lui laisser une chance. Et j'ai beaucoup aimé. Quel poids! J'ai lu dans certaines critiques de babelionautes qu'il s'était déchargé. Eh bien tant mieux! Même si ça n'avait servi qu'à ça, tant mieux pour lui. Si on croit à la lecture thérapeutique, on peut aussi croire à l'écriture thérapeutique.
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