Mon idée est que si vous n'avez aucune envie d'être ici... vous redoutez encore plus d'être ailleurs, avouez!
On vit dans un monde devenu fou... On vit dans un monde où un simple virus a le pouvoir d'enrayer l'économie mondiale... Un monde où on nous répète jour après jour qu'il se meurt par notre faute, que les ressources naturelles sont épuisées et que nous en feront payer le juste prix à nos enfants... Et vas-y, démerde-toi pour vivre avec ça...
On vit dans un monde devenu fou... On vit dans un monde où un simple virus a le pouvoir d’enrayer l’économie mondiale... Un monde où on nous répète jour après jour qu’il se meurt par notre faute, que les ressources naturelles sont épuisées et que nous en ferons payer le juste prix à nos enfants... Et vas-y, démerde-toi pour vivre avec ça...
Le seul truc que je ressens au plus profond de moi, là, tout de suite… c’est que je suis profondément dans l’acceptation complète que la nature me déteste et que c’est un ressenti totalement réciproque.
On ne choisit pas son avenir... mais on choisit nos habitudes, et nos habitudes décident de notre avenir.
On vit dans un monde où, fourmi parmi les fourmis, chacun de nous se prend le vent des mauvaises nouvelles tous les matins, tous les midis et tous les soirs, et malgré le souffle des noires bourrasques, nous tentons de répondre à l’injection de rester debout et de ne pas plier.
Lorsqu'on regarde dans la bonne direction, il ne reste plus qu'à avancer
Seul, en compagnie de moi-même, ce n'est pas rien, ça...
Finalement la nature loin de la nature humaine... c'est encore ce que je préfère.
Ah, l'ironie... rabaisser par le rire toute idée nouvelle plutôt que de se laisser questionner.. la belle couardise du vingt-et-unième sièle ...