Bouncer, tome 2 : La pitié des bourreaux

Quand tu seras face au danger, accepte que tu vas mourir...
Alors tu sauras...
...Que le temps est toujours plus lent pour un homme qui sait que la mort l'attend.

"Que pouvait faire un manchot ? J’ai connu le dur apprentissage de l’humiliation… les semaines passèrent… Il n’y a pas de travail pour un mutilé… juste le mépris, les insultes… et les coups. "

- Quel jeu joues-tu Bouncer ? Pourquoi avoir envoyé Seth dans la gueule du loup ? Il était en train d’oublier sa vengeance.

- Parce qu’il doit aller jusqu’au bout. Un désir de vengeance, ça ne vous laisse jamais tranquille. Le poison de la haine pourrirait sa vie jusqu’au bout !

- Je veux que vous donniez une leçon à cette petite garce arrogante.

- Ne vous inquiétez pas monsieur le Maire, nous aurons la main moins lourde, mais elle saura quand même qui fait la loi ici !...

Crazy Butterfly m’a dit un jour : « Combats contre plusieurs comme s’ils étaient un seul… combat un seul comme s’il était plusieurs. »

Bouncer :

La peur de la mort attire la mort ! Tu veux ou tu ne veux pas devenir un tueur parfait ?!

L’institutrice au Maire :


-Pouvez-vous me dire à quoi sert cette grille ? Vous faites classe à des singes ?

- Heu… c’est simple, elle sépare les enfants bien nés… heu… des autres... les enfants des prostituées qui infestent la ville.

- Les autres, ce sont, si j’ai bien compris, les enfants mal nés ? Pour moi, tous les enfants se ressemblent.

[…]

- Grave erreur, ma petite ! Vous avez offensé les puissants. S’il vous arrive quelque chose, ils ne vous protégeront pas… et je ne le pourrai pas non plus.

« À ma mort, je ne veux être ni enterré, ni incinéré. Je veux qu’on me coupe en morceaux… et que ma chair et mes os nourrissent mes chiens !... »

Que pouvait faire un manchot ? J’ai connu le dur apprentissage de l’humiliation… les semaines passèrent… Il n’y a pas de travail pour un mutilé… juste le mépris, les insultes… et les coups.

♀ : Je suis sûre que c’est après mes bijoux qu’ils en ont. Il faut les cacher.

♂ : C’est ça ! Fourre-les au fond de ton gros cul, jamais ils n’iront les chercher là !