Atmosphère épique voltigeant entre la grâce des étendues maritimes et les empoignades sanglantes entre l'homme et l'animal, voire entre l'homme et lui-même.
L'adaptation d'
Olivier Jouvray et de
Pierre Alary rend abordable le
Moby Dick de
Herman Melville. On a cependant l'impression de découvrir un si bref aperçu de la totalité de l'oeuvre de ce dernier qu'après nous avoir rassuré sur l'accessibilité et la beauté des mots de Melville, cette adaptation nous donnera envie d'accéder à la globalité d'une histoire qui ne pouvait pas être contenue en presque deux centaines de planches.
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