Je sais parfaitement que tout ici est virtuel, constitué de toutes pièces à partir de données informatiques, mais nos coeurs, eux, sont vrais. Alors, tout ce que nous éprouvons est bien réel aussi.
C'était cela un RPG ; un jeu où l'on vivait, où l'on mourait encore et encore, où l'on apprenait et améliorait ses techniques de jeu. Tout cela ne serait plus possible ? On succomberait une fois et tout serait terminé sans avoir au moins la possibilité d'arrêter de jouer ?
- N'importe quoi, dis-je en gémissant.
p.454.
- L'Armée est devenue beaucoup trop importante. Après sa dissolution, j'aimerais recréer une petite organisation pacifique avec une synergie positive. Ce serait irresponsable de seulement détruire sans rien reconstruire ensuite.
La série animée est génial, ce qui me donne envie de l'avoir, encore faut il le trouver en librairie
Réellement je n'ai pas lu le livre et surtout pas en japonais !!! En fait j'ai vu la série avec les sous-titre et elle est géniale... Je ne suis pas très amie avec les manga mais peut être qu'en grandissant je changerai d'opinion et pourrait lire Sword Art Online en ... Français !!
La salle du dernier étage de cette zone, généralement plus vase que les autres, abritais un monstre cruel qui gardait l'escalier menant au niveau supérieur, en l’occurrence, ici, le 75ème étage. Une fois passé cette "petite étape", il suffisait d'atteindre la ville principale et d'y activer le portail de téléportation pour terminer la conquête du niveau.
Une forteresse de roches et dacier composée de cent étages. A l’intérieur, on trouve plusieurs villes, de nombreux villages et autres bourgs de petite taille, mais aussi des forêts, des plaines et même des lacs. Chaque étage est relié aux autres par un seul et unique escalier, mais sa découverte et son accès sont gênés par l’aspect labyrinthique de l’endroit et par le danger dû aux monstres qui y rôdent.
Les joueurs doivent se frayer un chemin à travers les différents niveaux pour parvenir au sommet en éliminant les puissants « boss » uniquement à la force de leurs épées.
Outre les combattants, il y a aussi des artisans : forgerons, cordonniers ou tailleurs. Il est possible également d’apprendre à pêcher ou à cuisiner, et même de s’initier à la musique.
L’aventure n’est pas la seule option qui s’offre à eux dans ce vaste monde virtuel ; ils peuvent littéralement choisir leur mode de vie.
Vous êtes bien dans un jeu-vidéo, mais vous n'êtes plus là pour jouer.
Lorsqu'elle m'avait posé la question sur la signification de tout ceci, je lui avais répondu qu'il n'y en avait aucune. Je pouvais maintenant donner un sens à ces mots. Elle avait péri subrepticement dans ce jeu mortel, insignifiant, conçu par un génie fou nommé Akihiko Kayaba. Moi-même, j'allais mourir sans tambour, ni trompette, sans que cela rime à quelque chose.
Qui était capable d'une telle horreur? Qui pouvait rester indifférent et avoir la conscience tranquille après avoir fait mourir autant de gens? Certainement pas un être humain, mais plutôt un monstre.