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Critique de ConfidencesLitteraires
Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu Douglas Kennedy, merci à Babelio et aux éditions Belfond pour cette opportunité !
J'apprécie beaucoup cet auteur, mais certains de ses livres sont loin d'être des coups de coeur : je le trouve assez inconstant…
En ce qui concerne ce dernier livre, mon avis est en demi-teinte. Pendant presque la moitié du roman, j'ai dû m'accrocher pour tourner les pages. La narratrice, Alice, va voir son frère en prison, puis nous raconte les événements qui ont marqué son adolescence.
Le ton m'a déplu : froid, plat, sans attrait, malgré la gravité des faits qu'elle évoque.
Heureusement, quand on arrive aux années universitaires, tout est plus fluide. Les personnages prennent en épaisseur, la psychologie de la narratrice gagne en profondeur et l'histoire devient plus intéressante.
On découvre le milieu universitaire au début des années 70, les préoccupations des étudiants... L'ambiance est assez pittoresque et m'a réconciliée avec le roman.
Ce qui m'a un peu lassée, c'est l'accumulation de noms d'auteurs, d'artistes, d'oeuvres, qui m'étaient inconnu.e.s. Certes le milieu est assez intellectuel et artiste, mais j'aurais apprécié des éléments de contexte, soit dans la narration même, soit en note de bas de bas de page, pour ne pas me sentir inculte (ou tout simplement mieux m'immerger dans l'histoire).
Je lirai sans doute la suite si j'en ai l'occasion ; j'ai envie de savoir comment Alice va gérer ses problèmes familiaux et les crises qu'elle traverse.
Ce roman parlera sans doute plus à certains lecteurs qu'à moi. Tout de même, je conseillerai de découvrir Douglas Kennedy plutôt par L'homme qui voulait vivre sa vie ou La poursuite du bonheur !
J'apprécie beaucoup cet auteur, mais certains de ses livres sont loin d'être des coups de coeur : je le trouve assez inconstant…
En ce qui concerne ce dernier livre, mon avis est en demi-teinte. Pendant presque la moitié du roman, j'ai dû m'accrocher pour tourner les pages. La narratrice, Alice, va voir son frère en prison, puis nous raconte les événements qui ont marqué son adolescence.
Le ton m'a déplu : froid, plat, sans attrait, malgré la gravité des faits qu'elle évoque.
Heureusement, quand on arrive aux années universitaires, tout est plus fluide. Les personnages prennent en épaisseur, la psychologie de la narratrice gagne en profondeur et l'histoire devient plus intéressante.
On découvre le milieu universitaire au début des années 70, les préoccupations des étudiants... L'ambiance est assez pittoresque et m'a réconciliée avec le roman.
Ce qui m'a un peu lassée, c'est l'accumulation de noms d'auteurs, d'artistes, d'oeuvres, qui m'étaient inconnu.e.s. Certes le milieu est assez intellectuel et artiste, mais j'aurais apprécié des éléments de contexte, soit dans la narration même, soit en note de bas de bas de page, pour ne pas me sentir inculte (ou tout simplement mieux m'immerger dans l'histoire).
Je lirai sans doute la suite si j'en ai l'occasion ; j'ai envie de savoir comment Alice va gérer ses problèmes familiaux et les crises qu'elle traverse.
Ce roman parlera sans doute plus à certains lecteurs qu'à moi. Tout de même, je conseillerai de découvrir Douglas Kennedy plutôt par L'homme qui voulait vivre sa vie ou La poursuite du bonheur !
