Mes amis-lecteurs le savent déjà, j'ai beaucoup plus de difficultés à exprimer les raisons qui font que j'ai aimé un livre que de développer un argumentaire cinglant sur un ouvrage qui m'a déçue. Sachant que, de plus, je ne m'étends jamais sur le sujet du livre en question - considérant que le résumé éditeur, visible par tous, est fait pour ça - ma chronique sera donc brève.
À la fois cruel et tendre, classé SF mais étonnamment réaliste, très bien amené, finement dosé dans l'émotion qu'il suscite, ni trop ni trop peu, juste ce qu'il faut pour nous cueillir sans résistance.
Quarante années plus tard, Daniel Keyes confiait que Charlie et Algernon ne l'ont jamais quitté. Et j'avoue que, moi-même, je ne les oublierai pas de sitôt.
Commenter  J’apprécie         10212