La notion de chef-d'oeuvre est subjective. Personnellement, je n'ai pas été touchée par ce livre. Seul le final tragique et absurdement héroïque a trouvé grâce à mes yeux.
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On crie un peu trop vite au chef-d'oeuvre, de nos jours. C'est le cas de ce récit d'une centaine de pages, imprimé, publié et lu en son temps comme samizdat. D'où probablement son succès et sa réputation surfaite auprès de la communauté babelio.
Soyons francs : son côté disparate fait de bric et de broc le dessert, car alliant réalité et onirisme, Histoire et fiction, chronologie et disruption, récit et discours, sobriété et grotesque.
Qu'en reste-t-il après la lecture ? Rien que le vague souvenir d'un opuscule confus, diffus et profus.
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