Je m’inquiète encore plus de l’absence d’aspects plus humains dans notre monde. À chaque génération, il me semble que nous sommes de plus en plus démunis quant à l’art, à la pensée, à la sensibilité, à la connaissance, à la sagesse. Mon observation de la vie me porte à croire que nous ne pourrons pas vivre sans ce qui fait de l’homme dans son ensemble autre chose qu’un prédateur compulsif.
Il me semble que la sagesse du passé se perd. D’une manière générale, la beauté, l’équilibre et l’harmonie tombent dans l’oubli pour se voir remplacés par un besoin d’accumulation, de possession et de profit. Comme si, pour bien vivre, la beauté était une chose dont on pouvait se passer.