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Critique de jmb33320
Bonne pioche avec ce Stephen King. Il était depuis très longtemps dans ma PAL. Je préfère sa veine fantastique / horreur pure / SF et, ici, j'ai tout d'abord été partiellement déçu car l'intrigue est essentiellement policière, avec son personnage principal de flic retraité qui revient (officieusement) aux affaires pour river son clou à un tueur machiavélique.
Stephen King a déjà mis en scène dans d'autres romans des personnages qui ressemblent à Bill Hodges, attachés à maintenir un peu de justice dans un monde qui la connaît à peine. Et généralement ils passaient de vie à trépas dans de grandes souffrances. J'ai donc essayé de ne pas trop m'attacher à ce personnage positif, craignant de le perdre avant la fin.
En revanche j'ai été très étonné par l'empathie que King est parvenu à susciter envers son personnage de tueur, le Mr Mercedes du titre. Il est bien une figure puissante du Mal mais possède quand même de l'épaisseur humaine, ce que j'ai trouvé très dérangeant.
Ce roman propose une histoire complète. Il s'inscrit pourtant dans une trilogie. Je lirai probablement les deux autres, mais pas dans l'immédiat. La « générosité » de King en longueur de lecture et en procédés horrifiques me dissuadent d'y retourner souvent.
Stephen King a déjà mis en scène dans d'autres romans des personnages qui ressemblent à Bill Hodges, attachés à maintenir un peu de justice dans un monde qui la connaît à peine. Et généralement ils passaient de vie à trépas dans de grandes souffrances. J'ai donc essayé de ne pas trop m'attacher à ce personnage positif, craignant de le perdre avant la fin.
En revanche j'ai été très étonné par l'empathie que King est parvenu à susciter envers son personnage de tueur, le Mr Mercedes du titre. Il est bien une figure puissante du Mal mais possède quand même de l'épaisseur humaine, ce que j'ai trouvé très dérangeant.
Ce roman propose une histoire complète. Il s'inscrit pourtant dans une trilogie. Je lirai probablement les deux autres, mais pas dans l'immédiat. La « générosité » de King en longueur de lecture et en procédés horrifiques me dissuadent d'y retourner souvent.
