"Monstrueux", "Vengeance"... de simples mots en guise de titres et une définition complète en 140 pages, voilà le talent de
Kirkman et Adlard. Dans ce tome 6, on atteint le sommet du gore et de l'horreur (heureusement, en noir et blanc), et on a la certitude maintenant, que ce n'est pas la transformation en zombie qui est le véritable danger, mais bien la transformation psychologique des vivants, qui est vraiment bien pire. Un tome perturbant, où même si certains personnages s'en sortent, ce n'est pas sans séquelles et où l'on peut se demander jusqu'où résisteront-ils?
Commenter  J’apprécie         90