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Critique de ladesiderienne
Ce roman est la novélisation du film "Le Cercle des Poètes disparus" réalisé par Peter Weir, sorti en France en 1990, encensé par les critiques et avec Robin Williams dans le rôle principal de John Keating. Je ne me souviens pas l'avoir visionné intégralement mais je vais réparer cet oubli dès que possible.
Dans les années 60, Todd Anderson entre dans le très respectable Collège de Welton, dans les pas de son grand frère qui y a autrefois, fait de brillantes études. Malgré sa timidité, il se lie rapidement avec ses autres camarades de promo. Ces jeunes, appelés à devenir l'élite de la société, vont découvrir, médusés, la manière peu orthodoxe d'enseigner de leur professeur de lettres, Mr Keating. Ce dernier n'a de cesse de mettre en avant l'individualité, et les encourage à échapper à tout conformisme. Sa philosophie épicurienne n'est pas vraiment adaptée à l'enseignement traditionnel de l'école et encore moins au goût des parents d'élèves.
Qui n'a pas rêvé d'avoir, au cours de ses études, un professeur qui se démarquerait, à l'image d'un John Keating ? Un professeur qui, loin des principes de l'Éducation Nationale, prônerait des valeurs de liberté, d'accomplissement de soi et dont la devise serait "Carpe Diem". Cette histoire est d'autant plus intéressante qu'elle fait souffler un vent de nouveauté dans un lieu et à une époque plutôt imperméable à toute réforme, au niveau de l'éducation. J'en ai aimé l'hommage à la poésie et l'ode à l'amitié qui en découlent. Je déplore juste que ce roman auquel j'accorde un 12/20 soit beaucoup trop court pour profiter pleinement des belles valeurs qu'il porte.
Dans les années 60, Todd Anderson entre dans le très respectable Collège de Welton, dans les pas de son grand frère qui y a autrefois, fait de brillantes études. Malgré sa timidité, il se lie rapidement avec ses autres camarades de promo. Ces jeunes, appelés à devenir l'élite de la société, vont découvrir, médusés, la manière peu orthodoxe d'enseigner de leur professeur de lettres, Mr Keating. Ce dernier n'a de cesse de mettre en avant l'individualité, et les encourage à échapper à tout conformisme. Sa philosophie épicurienne n'est pas vraiment adaptée à l'enseignement traditionnel de l'école et encore moins au goût des parents d'élèves.
Qui n'a pas rêvé d'avoir, au cours de ses études, un professeur qui se démarquerait, à l'image d'un John Keating ? Un professeur qui, loin des principes de l'Éducation Nationale, prônerait des valeurs de liberté, d'accomplissement de soi et dont la devise serait "Carpe Diem". Cette histoire est d'autant plus intéressante qu'elle fait souffler un vent de nouveauté dans un lieu et à une époque plutôt imperméable à toute réforme, au niveau de l'éducation. J'en ai aimé l'hommage à la poésie et l'ode à l'amitié qui en découlent. Je déplore juste que ce roman auquel j'accorde un 12/20 soit beaucoup trop court pour profiter pleinement des belles valeurs qu'il porte.
