Parce que la mort est toujours là. Quoi que vous fassiez, quelle que soit votre vie, bonne ou mauvaise, ou entre les deux, elle vous attend. Dès le moment de votre naissance, vous mourrez.
Vous n'étiez pas en colère. Vous aviez peur et vous comportiez comme si vous étiez en colère. Il y a une différence.
Il y a de la beauté dans la mort. Elle nous échappe, parce que nous ne voulons pas la voir. Et c'est logique. Pourquoi aurions-nous envie de prêter attention à quelque chose qui nous ravira à tout ce que nous connaissons ?
Je fais ce que je fais, parce que je sais que vous n'avez jamais été plus perdu ou plus vulnérable de toute votre vie . Et si je parviens à vous rendre ce moment un peu moins pénible, soit. La mort n'est pas la fin ultime, Wallace. C'est une fin, bien sûr, mais seulement pour vous préparer à un nouveau début.
Ça vient de la terre, dit calmement Hugo. L'énergie. La vie. La mort. Tout. Nous nous levons et nous tombons, puis nous nous relevons une fois encore. Nous empruntons des chemins différents, mais la mort ne fait pas preuve de discrimination. Elle vient pour tout le monde. C'est ce que vous en faîtes qui vous distingue. Concentrez-vous, Wallace. Je vous montrerai où regarder. Vous comprendrez.
Il y a de la beauté dans la mort. Elle nous échappe, parce que nous ne voulons pas la voir. Et c’est logique. Pourquoi aurions-nous envie de prêter attention à quelque chose qui nous ravira à tout ce que nous connaissons ? Comment pourrions-nous seulement envisager que notre vision du monde est au mieux partielle ?
La mort n'est pas la fin ultime, Wallace. C'est une fin, bien sûr, mais seulement pour vous préparer à un nouveau début
« Qu’est-ce que vous fichez par terre ? demanda Mei.
- Ai-je besoin d’une raison ? répondit Wallace d’un ton morne. Tous nos actes ne sont-ils pas vains ?
- Houlà. Il est beaucoup trop tôt pour vos angoisses existentielles. Je ne suis pas assez réveillée pour me coltiner votre déprime. »
Inspirer la peur dès le départ diminuait les risques d’incompétence par la suite.
Nous nous levons et nous tombons, puis nous nous relevons une fois encore. Nous empruntons des chemins différentes, mais la mort ne fait pas preuve de discrimination. Elle vient pour tout le monde. C'est ce que vous en faites qui vous distingue.