Ce livre, c'est de la poésie en intraveineuse.
Je connaissais
Kochka grâce au Chant de Loon alors j'étais plus que ravie de continuer sur ma lancée avec celui-ci. Mais déjà - commençons par le début - on en parle de la beauté de cette couverture ?
La maison des mots perdus m'a touché et émue. On y parle quête d'identité et secrets de famille.
Du haut de ses 10 ans, Ravi va chercher à découvrir ce que ses parents lui cache et en découvrir davantage sur ses origines. Chercher à comprendre pourquoi sa maman ne parle pas.
Ce récit est prenant, poignant et très bien écrit. Peu de pages mais l'essentiel est là et c'est tout ce qu'il fallait.
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