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Citations sur Mais où est donc Ornicar (11)

Il ne reste plus qu'à vous souhaiter bon courage... et bonne mémoire.
Et si les remèdes vous paraissent pires que ce mal qu'est l'oubli, plus indigestes, plus difficiles à retenir encore que les données brutes, ne vous découragez pas. Pour faire entrer un souvenir dans sa mémoire, tous les coups sont permis, y compris de le tirer par les cheveux.
Et maintenant, à vous de jouer...
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~ Je me souviens qu'autrefois il ne fallait manger les huitres que pendant les mois en "r" (ceux qui comptent un r dans leur nom, soit janvier, février, mars, avril, septembre, octobre, novembre et décembre).
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~ Grâce à mes mains, je me souviens de la longueur des mois.
De janvier à décembre, chaque mois est représenté par les bosses et les creux formés sur le poing fermé par les articulations des doigts. Les bosses correspondent aux mois de 31 jours, les creux à ceux de 30 (ou de 28 ou de 29).
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~ Je me souviens de ce que me disait mon moniteur d'auto-école : avant de démarrer, il faut être vif.
C'est à dire penser à enclencher la Vitesse, à Informer que l'on démarre au moyen de son clignotant et à desserrer le Frein à main.
~ Je me souviens que sur le volant, je dois poser les mains à 10 h 10 (ni trop haut, ni trop bas).
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~ Je ne confonds plus le carpe et le tarse depuis que je me souviens que la carpe s'attrape (parfois) à la main, en tous cas jamais avec le pied !
Le carpe ce sont les os du poignet, le tarse ceux du pied.
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~ Grâce à Gavroche, je me souviens des philosophes du XVIIIe siècle :
Si je suis tombé par terre
C'est la faute à Voltaire
Le nez dans le ruisseau
C'est la faute à Rousseau
Si souvent j'en dis trop
C'est la faute à Diderot
Mais si je monte aux cieux
C'est grâce à Montesquieu.
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~ Je me souviens aussi de quelques trucs de calcul mental, qui s'apparentent à la mnémotechnie par leur formulation... allègre :
Pour multiplier un nombre par neuf
Sans calculette et sans doigts
Je le multiplie par dix
Et je le retire du résultat.
Pour multiplier un nombre par onze
Pas besoin d'être un grand bonze
Je le multiplie par dix
Et je l'ajoute au résultat.
Et si c'est par vingt-cinq que je le multiplie
Je ne me fais aucun souci
Il me suffit de le multiplier par cent
Puis de le diviser par quatre...
C'est pas cassant.
Élémentaire, n'est-ce pas ?
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JE ME SOUVIENS DES MATHÉMATIQUES
~ De tous les théorèmes que j'ai appris au cours de ma scolarité, le seul à demeurer dans ma mémoire est celui de Pythagore. Il suffit de commencer :
Le carré de l'hypoténuse...
et, comme par enchantement, la suite surgit irrésistiblement :
... Est égal, si je ne m'abuse,
A la somme des carrés
Des deux autres côtés.
La poésie est le meilleur antidote à l'amnésie.
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Agaçants accents
~ Je me souviens que le chapeau de la cime est tombé dans l'abîme.
Pour se souvenir qu'abîme porte un accent circonflexe, alors que cime n'en a pas.
~ Sur le même principe, je me souviens que le chapeau du boiteux est tombé dans la boîte, celui du goitreux est resté au cloître, celui du psychiatre a roulé dans l'âtre.
~ Toujours à propos de l'accent circonflexe, que sa forme prédispose à toutes sortes de métaphores, souvenons-nous qu'on met un chapeau sur la tête, un couvercle sur la boîte, un toit sur le château, l'hôtel ou l'hôpital ; mais celui du chalet a été emporté par l'avalanche. Et celui de l'égout a chu dans le ragoût. Le dévot quant à lui ne sort jamais couvert.
~ Je me souviens aussi que le pêcheur porte souvent un chapeau.
Ce qui le distingue du pécheur, reconnaissable à son sens aigu (comme son accent) du péché.
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~Je me souviens que les scies n'aiment pas les raies ou, plus musicalement, que les si n'aiment pas les ré.
Pour se souvenir qu'on n'emploie jamais le conditionnel (terminaison en -rais, -rait...) après la conjonction si.

~Je me souviens qu'Il faut une bonne mémoire après qu'on a menti.
Ce vers de Corneille (Médée) pour se souvenir qu'après Après que, il faut toujours l'indicatif, et non le subjonctif.
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