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Critique de 5Arabella


Elytis est le deuxième Grec à avoir obtenu le prix Nobel de littérature en 1979, prenant ainsi la suite d'un autre poète, Georges Séféris. Après avoir découvert ce dernier, j'ai voulu poursuivre avec Elytis. Ces oeuvres ne sont pas faciles à trouver, et le seul livre qui était disponible dans la bibliothèque où j'ai tenté de le dénicher, était un très mince volume composé de 7 poèmes traduits par Jacques Lacarrière, appelé Les clepsydres de l'inconnu. C'est relativement peu pour se faire une idée de cette poésie, et mon impression s'appuiera sur un aperçu furtif.

Je suis moins entrée dans ces textes que dans ceux de Georges Séféris. Nous sommes bien en Grèce, sous un soleil éclatant, la mer est presque toujours présente aussi, c'est un univers sensoriel, sensuel. C'est un peu moins limpide pour moi que Séféris, il y a des associations des mots un peu étranges, auxquels j'ai parfois eu du mal à trouver du sens : Elytis est présenté dans ses biographie comme ayant été influencé par le surréalisme, et c'est ce type de choses qui me gêne un peu dans ce dernier, des formules qui cherchent à surprendre, à étonner, au détriment d'une forme d'évidence.

Mais il faudrait que j'en lise un peu plus pour vraiment me faire une idée, là ce n'était qu'une petite mise en bouche.
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