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Critique de ParisPolarBlues


En France on recense chaque année entre de 40 000 et 50 000 disparitions de mineurs, 95 % sont des fugues. le pourcentage restant nous ramene à la triste réalité de l'actualité.

Après les méandres de la neuroscience et la raison d'état dans et avec votre esprit, Alexis Laipsker nous emmène, avec le mangeur d'âmes, dans un mystérieux village à flanc de montagne où meurtres sanglants et disparitions d'enfants se succédent.
Entre légende mythologique, maltraitence infantile, pedophilie et une intrigue bluffante (normal pour un joueur de poker) Alexis Laipsker reussit un coup de maître pour ce deuxième roman. L'auteur m'a même rendu nostalgique avec le sigle OCDIP (office centrale des personnes disparus) le premier service que je rêvais d'intégrer lorsque j'étais jeune enquêteurs.
Bon revenons à ce roman et aux personnages dont le duo police/gendarmerie fonctionne à merveille. le Commandant Élisabeth Guardiano, en charge des meutres et le Capitaine de Gendarmerie Franck de Rolan, qui lui enquête sur les disparitions d'enfants. Ces personnages sont bien travaillés et se révèleront au fil de l'histoire et ce jusqu'à la fin.
Bon en attendant le 24 avril 2024 pour aller voir l'adaptation cinématographique de ce roman vous pouvez toujours le lire
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