Tout d'abord je remercie les éditions Arthaud et Babelio sans lesquels je n'aurais pas connu ce roman bien construit, porté par une écriture de qualité.
On vit les probables dernières heures du narrateur. Suivies de l'évocation du passé avec des chapitres nettement délimités.
Je l'ai lu avec beaucoup d'intérêt, voulant connaître la suite des événements.
Au final, le personnage marquant est le premier renard apparu et son cheminement jusqu'à la grande ville, Lutetia. L'auteur fait montre d'anthropomorphisme tant il est vrai que l'animal semble obéir à une force supérieure qui le guide.
Comme Christian Maupertuis, au faîte de sa puissance dans sa multinationale, Goupil multiplie sa descendance et ses facultés d'invasion et de perturbation.
J'ai vu dans ce roman la caricature des extrêmes dans la société actuelle et en ai apprécié l'humour.
Commenter  J’apprécie         60