Cynster, tome 1 : La fiancée de Devil

Angleterre, début du XIXe : une jeune femme indépendante, issue d'une grande famille, se voit poussée à se fiancer avec un duc car elle a été placée dans une situation compromettante avec lui, tandis qu'elle a été témoin du meurtre du cousin de ce même duc.

Une romance historique que je n'ai pas réussi à terminer… Des personnages principaux caricaturaux, des longueurs telles que même en lisant en diagonale l'intrigue n'avance pas, une volonté de l'auteure d'insister sur le désir qui finit par lasser (ce qui est un comble), et une traduction parfois balbutiante. le seul intérêt du roman est l'enquête sur le meurtre, mais très vite on se doute du coupable ; et cet arc narratif est englué dans des interactions entre les personnages peu crédibles quand on connaît les mentalités de l'époque, notamment entre les deux héros qui forment un couple si énervant qu'on a envie de leur mettre des claques.

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(C'est la couverture, qui est assez jolie, qui a attiré mon regard en premier puis le résumé, qui est intéressant.
Au début, j'ai apprécié l'enquête, l'héroïne qui est rebelle et le scénario, plutôt agréable.
Malheureusement, c'est tellement mal traduit que j'ai eu du mal à déchiffrer certaines phrases. Je devais relire pour essayer de comprendre et ça gâche la lecture.
Devil devient tellement arrogant et agaçant qu'on a envie de le gifler à maintes reprises.
Alors que, pendant une bonne partie du récit, Honoria ne veut pas l'épouser et ceci pour une très bonne raison (parfaitement compréhensible quand on connait son passé), en un claquement de doigts, il y a un revirement total. Elle se met à aimer Devil, a lui trouvé toutes les meilleures qualités et à vouloir l'épouser. On ne voit pas les sentiments naître, je n'ai ressenti aucune émotion dans leur romance.
L'enquête devient totalement absente et tous les événements passent en quatrième vitesse.
Bref, je me suis lassée et je n'ai pas atteint les cinq cent pages, j'ai abandonné ma lecture. Avec beaucoup moins de pages et une meilleure traduction, cela aurait été certainement mieux. Dommage…

Roman qui est tout sauf fluide et intéressant, même pour les adeptes du genre (romance historique convenue se déroulant dans la bonne société britannique). le synopsis est le même que dans beaucoup de romans de ce genre: une jeune femme indépendante de bonne famille est retrouvée en situation compromettante (seulement en apparence) et est contrainte socialement à l'épouser si elle veut conserver sa réputation. Évidemment, elle ne veut rien savoir ni du mariage ni du duc qui s'offre (s'impose) pour l'épouser. Cette trame est doublée d'une enquête pour meurtre à laquelle la jeune femme et le duc sont mêlés. En plus du manque d'originalité, le récit traîne en longueur (c'est presque insupportable), les personnages sont insignifiants voire caricaturaux au possible (de plus, on ne croit pas deux secondes à la possible chimie entre les deux), un double genre avec l'enquête pour meurtre dont la fin est assez prévisible et aucun rebondissement qui aurait aiguisé un tant soi peu l'intérêt. le comble? Il y a une suite! (que bien évidemment, je ne lirai pas!)

Et c'est une grosse déception. L'intrigue est poussive, avançant péniblement entre l'enquête pour meurtre et la conquête amoureuse. Mais le vrai problème, c'est la traduction qui rend le texte presque illisible. Souvent la traductrice semble faire du mot à mot depuis l'anglais, ce qui fait que certaines tournures de phrases sont difficilement compréhensibles et demandent une véritable gymnastique cérébrale pour retrouver ce que l'auteur voulait dire.

Honoria Wetherby travaille depuis quelques années comme gouvernante malgré ses origines sociales plutôt élevées. Elle ne rêve que d'indépendance et de voyages en Afrique. Mais son destin bascule le jour où elle rencontre Devil Cynster, duc de St Ives. Après avoir veillé ensemble sur le cousin de Devil, ce dernier lui propose de l'épouser pour préserver sa réputation.
Mais Honoria ne l'entend pas de cette oreille. Devil se donne quelques semaines pour la convaincre. En parallèle, il lui faut découvrir qui a tué son cousin, Tolly et pourquoi.

Bilan assez mitigée. J'ai aimé la passion qui brûle entre Honoria et Devil. D'ailleurs, je les ai plus sentis attirés l'un par l'autre que vraiment amoureux.
Les deux héros ont une personnalité très affirmée. Devil est le chef de famille, il a l'habitude d'avoir tout ce qu'il veut. Honoria, de son côté, a connu une grande tragédie qui l'a rendue méfiante.
Leurs échanges sont parfois tendus, chacun voulant avoir le dernier mot. J'aime bien les héroines fortes, qui ne se cachent pas derrière le héros. Honoria est donc une héroine comme je les aime. Devil aussi m'a plu que ce soit par son côté "je fais ce que je veux", son côté protecteur parfois à l'excès, son assurance et son côté sombre.

Là où j'ai eu plus de mal, c'est avec "qui a tué Tolly et pourquoi?". Moi qui galère à trouver le coupable dans tous les Agatha Christie que j'ai lus, ici je n'ai eu aucune difficulté à cerner qui était le criminel. Pas de suspense de ce côté là.

La longueur du roman m'a aussi posé problème. Plus de 600 pages avec au final peu d'action et une romance plus passionnelle que romantique.

L'écriture de l'auteure est parfois un peu ... bizarre. Je ne sais pas vraiment décrire ce qui m'a gênée mais c'était là. Les scènes de sexe partent dans des envolées lyriques un peu ... particulières.

En résumé, des héros convaincants malgré une romance plus passionnelle que sentimentale, des longueurs qui pouvaient être évitées et une narration qui m'a parfois gênée. Un premier tome qui ne m'a pas complètement emballé.

La collection Diva Romance frappe fort pour ses débuts, j'avais adoré les deux premiers tomes des Infortunes Conjugales, je découvre à présent le premier tome de la série Cynster.

La fiancée de Devil est une romance Régence très bien menée, avec des personnages charismatiques, forts et passionnants à suivre. J'ai adoré Honoria pour sa force d'esprit, son intelligence, son courage et aussi sa faculté à affronter l'impétueux Devil à la réputation si sulfureuse. Quant à Devil, c'est un homme plein de charme à l'image d'un Mr Darcy en un peu moins gentleman; un être mystérieux qui aura du fil à retordre avec sa nouvelle fiancée.

J'aime les romances lorsque l'histoire est centrée sur ce point, je dois avouer que je suis moins adepte lorsque l'intrigue commence à dériver vers d'autres aspects comme c'est le cas dans ce premier tome. Ainsi la romancière décide de rajouter un mystère : un meurtre non élucidé avec un tournant policier. Ce n'est pas que ce mystère ne soit dénué d'intérêt mais ce n'est pas un mélange que j'apprécie forcément. J'aurais préféré que le livre se concentre d'avantage sur la relation entre nos deux héros car ce livre de plus de 600 pages souffre de longueurs...

En effet, j'ai adoré la première moitié du livre et puis au fur et à mesure j'ai trouvé qu'il y avait des moments assez plats, que la romancière se focalisait sur le meurtre à l'origine de la rencontre entre Devil et Honoria et dès lors l'évolution du lien entre ces deux êtres en pâtissait. Cela était moins approfondi, plus rapide ou alors moins tumultueux et sensuel... Ainsi j'ai aimé ma lecture mais je pense que ce livre aurait gagné en efficacité en étant moins long.

En définitive, une lecture agréable, j'ai très envie de lire les prochains romans de cette saga !
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Dans le cadre de mon aventure en tant que Lectrice Charleston 2017, j'ai quelques livres à lire – je vous en parlerai lors de la sortie des romans, les premiers ne devraient pas tarder. Récemment, j'ai eu le troisième tome de la saga Cynther écrite par Stephanie Laurens à lire et comme les deux premiers attendaient sagement dans ma Pile à lire, j'ai décidé de commencer par le premier. Je précise que ce n'est pas obligatoire, car chaque roman met en avant un nouveau membre de la famille Cynther.

Revenons-en à ce premier tome : La fiancée de Devil. Honoria est gouvernante, elle s'occupe de préparer les jeunes filles à faire leur entrée dans le monde. Des circonstances malheureuses l'entraînent à passer la nuit seule dans une maison isolée avec Devil Cynther. Et lorsque sa réputation se retrouve compromise, il annonce leur futur mariage. Mais Honoria ne l'entend pas de cette oreille et elle ne compte pas se laisser faire par cet homme autoritaire.

J'avoue que l'annonce de Devil de son mariage avec Honoria après avoir passé une nuit avec elle à veiller un homme à l'article de la mort m'a un peu surprise. Mais ça pose le personnage : le prédateur qui voit sa proie et ne la lâchera plus.

Honoria n'a pas prévu de se marier, et elle va tenter de repousser les assaults de Devil, qui va tout faire pour la séduire et la convaincre de devenir sa duchesse.

Il y a beaucoup d'érotisme dans ce roman. Et même si ce n'est pas franchement ma tasse de thé, je dois reconnaître que ce n'est pas vulgaire. Heureusement, il n'y a pas que ça, l'auteure a prévu une intrigue (ça fait du bien de ne pas être prise pour une quiche). Une enquête autour de l'assassinat du jeune cousin de Devil.

Dans l'ensemble, j'ai bien aimé ce roman, malgré quelques clichés. J'ai trouvé Honoria plutôt sympathique et loin d'être godiche et Devil est attachant. Dans le second tome, le Cynther dont il sera question sera Vane. Je vous en parle très vite.
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Honoria est une jeune gouvernante, issue d'une famille d'aristocrate aisée qui est chargée d'apprendre aux jeunes filles à faire leur entrée dans la société. Au contraire des autres jeunes filles de son âge, elle rêve de voyage et d'aventures et non d'épouser un homme riche qui lui assurerait un train de vie luxueux. Sa vie va basculer le jour où elle va croiser le chemin d'un homme agonisant sur le bord de la route et du Duc de Saint-Ives alias Devil... Ce dernier tombe littéralement sous le charme de la jeune femme qui répond à tous les critères pour devenir la future Duchesse de Saint-Ives... Et notre cher Devil n'entend pas essuyer un refus de la part de la jeune femme, de gré ou de force, elle l'épousera ! Il va profiter de la situation embarrassante dans laquelle elle se trouve pour parvenir à ses fins. En effet, la belle a passé la nuit, seule, sans chaperon, dans un cottage à veiller sur le cousin mourant du Duc. Si la jeune femme est révoltée, elle entend bien donner du fil à retordre à ce Devil qui va apprendre à la connaître ! La seule chose qui intéresse Honoria en plus de son rêve d'aventures est de retrouver celui qui a tué le cousin de Devil...



Honoria est un personnage haut en couleurs que j'ai beaucoup apprécié. Devil est tout simplement divin, le vrai mâle alpha par excellence. Beaucoup de responsabilités dû à son rang, dû à son sang, dû à sa lignée, à cause de sa famille, reposent sur ses épaules. Il sait parfaitement ce qu'il veut et il est prêt à tout pour l'obtenir ! Sa rencontre avec Honoria va être électrique, il est tombé sous le charme de ce petit bout de femme qui n'a pas l'intention de se laisser faire, de se laisser mener par le bout du nez par cet homme qui se croît tout permis.



Même si Devil ne souhaite pas que sa future bien aimée participe activement à l'enquête pour retrouver l'assassin de son cousin, cette dernière, têtue comme une mule entend bien faire la sourde d'oreilles et y participer ! D'ailleurs, elle n'hésitera pas à mettre les deux pieds dans le même sabot pour faire avancer les recherches. Son aide s'avérera précieuse même si ce cher Devil se refuse à le reconnaître...



Dès les premières lignes, j'ai été embarqué dans cette histoire incroyable que nous propose Stephanie Laurens. Elle ne perd pas de temps et nous fait entrer dans le vif du sujet d'entrée de jeu. On comprend l'importance des liens du sang, de la famille, et de tout ce qui unit les Cynster. C'est une famille que vous prendrez certainement plaisir à découvrir, elle est très éclectique entre ceux qui ont un grain de folie, ceux qui ont un côté barré, on ne pourra que prendre plaisir à les découvrir avec vivacité dans les prochains tomes.



Tout ça pour vous dire que je suis tombée sous le charme de la plume de l'auteur, sous le charme de Devil. Ce premier tome n'est pas parfait mais nous offre un agréable moment livresque remplit d'émotions, d'humour, d'amour et d'aventures. Je vous retrouve bientôt avec mon avis sur "La promesse d'un séducteur".


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Premier tome d'une série qui en comporte plus de seize – oui oui –, La fiancée de Devil nous présente les premiers membres de la famille Cynster, une famille très ancienne connue pour son autoritarisme.

Honoria Wetherby se découvre contrainte d'épouser Sylvester Cynster, le duc de St-Ives autrement appelé Devil, « le diable », ce dernier profitant du fait qu'ils aient passé la nuit seuls, sans chaperon, dans un cottage à veiller sur le cousin mourant du duc. Cette proposition révolte Honoria puisque cela va à l'encontre de ses projets pour lesquels elle avait fait une croix sur tout projet de mariage et de famille en devenant gouvernante ; Honoria est obnubilée par l'idée de découvrir le monde et de voyager. Qu'à cela ne tienne, Devil est, quant à lui, obsédé par l'idée de faire d'Honoria son épouse…

J'ai vraiment adoré les personnages d'Honoria et de Devil. Ce dernier est le mâle alpha par excellence, sur lequel reposent de nombreuses responsabilités liées à son rang et à sa famille. Il sait ce qu'il veut, et est prêt à tout pour l'obtenir. Sa rencontre avec Honoria va faire des étincelles et il va tomber sous le charme de la jeune femme. En effet, Honoria est bien loin de l'image policée et elle n'hésite pas à tenir tête à ce duc qui se croit tout permis…

Stephanie Laurens nous fait entrer dans le vif du sujet dès les premières pages, et ne perd pas de temps à nous faire comprendre les intentions du duc. de plus, elle nous présente déjà certains membres de la famille Cynster, et j'ai beaucoup aimé découvrir les liens forts qui les unissaient. Sincèrement, ils forment tous une joyeuse bande drôle, têtue et parfois loufoque, et cela laisse déjà présager de futurs tomes tout aussi excellent que celui-ci.

Pour conclure : je suis tombée sous le charme des Cynster et j'ai déjà hâte d'en découvrir plus encore sur les membres de cette grande famille. La fiancée de Devil est un excellent premier tome qui remplit toutes les conditions pour nous faire passer un délicieux moment : une héroïne forte et têtue, un héros dominateur et tout aussi têtu, et une intrigue qui nous ouvre les porte sur un univers plein d'émotions, d'humour et d'aventures.. J'ai déjà hâte de découvrir la suite !
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Je me suis plongée dans ce tome 1 puisque j'ai comme "devoir" la lecture du tome 3, dans le cadre de mon partenariat avec les Editions Diva Romance (Charleston) pour l'année 2017.

Bon au final, chaque histoire peut se lire assez indépendamment les unes des autres. Mais les rappels à des personnages rencontrés dans d'autres tomes, vous agaceront peut-être. Moi, me connaissant, j'aurais été agacée.
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Alors je vous annonce tout de go que c'est un roman d'époque. Allons-y pour les convenances, les traditions et tout le toutim. Je vous avoue que ça me convient parfaitement, vu que je suis une adepte des romans d'époque, surtout quand ils sont écrits par Jane Austen.

Là évidemment, on est très (très) loin de Jane Austen. Mais après tout, pourquoi pas.

Plus qu'une critique de l'époque, il s'agit plutôt d'utiliser celle-ci pour mettre en scène d'autres techniques de séduction que les habituels "T'es trop mignonne, t'as pas un 06 ?" (technique mondialement connue comme étant totalement inefficace).

Alors même si j'aime assez cette ambiance de convenances et de séduction toute en délicatesse, je dois avouer que mon côté féministe se hérisse souvent devant les réactions des personnages. 

Devil est un duc, plein de pouvoir, patati patata, mais il est surtout un gros tyran, considérant Honoria comme une pauvre fille fragile.

Et c'est là où je trouve dommage que l'héroïne, présentée comme étant éprise de liberté, d'aventures, abandonnent assez vite les rêves qui semblaient lui tenir tant à coeur. 

Mais après une fois qu'on resitue le tout dans son époque... Et que je me suis assise sur mon côté féministe, j'ai pu apprécier ma lecture... Par contre l'érotisme... Franchement, pour moi ça ne colle pas !

On ne peut pas dire le matin : "Oh, vous me touchez la main, comment osez-vous !" et le soir... hum ouais, bref, on s'est compris ! Tout cela manque un peu de cohérence et je ne suis pas sensible à des pages et des pages et des pages de description du monsieur et de son truc.

Pour tout vous dire quand ça commençait à devenir chaud patate, je sautais allègrement 3 à 4 pages, histoire de passer à autre chose.
 
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J'ai par contre apprécié l'histoire policière qui se déroule en parallèle de l'histoire d'amour. Je trouvais que ce concept changeait agréablement. Dommage qu'on voit assez vite où veut en venir l'auteure. 

Au final, pour un roman d'amour, l'histoire reste plaisante, avec quelques touches d'humour, mais il y a BEAUCOUP trop de longueurs ainsi que, je pense, un léger problème de traduction. Certaines formulations de phrases sont lourdes et le choix de certains mots m'ont laissé songeuse...

Mais, ne perdons pas de temps !

J'enchaîne désormais avec le tome 2 et les autres cousins Cynster, en espérant que tous les volets ne soient pas sur le même modèle, sinon cela risque d'être un tantinet longuet. 
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