>
Critique de nathalou93
Tragique redite d'un fait divers banal ou macabre mise en scène ? Un sombre pressentiment s'empare de l'inspecteur. Alors que le tout le pays a les yeux braqués sur la petite ville, l'émission de télé-réalité dérape. Les cadavres se multiplient…
Pour ce tome 4 l'autrice nous emmène dans le milieu de la télé-réalité de l'alcoolisme et de l'homosexualité féminine.
Les investigations se croisent et s'entremêlent sans parler des faits personnel d'Ericka et Patrick et également de Melberg.
J'ai particulièrement aimer ce tome là, avec une alternance passé présent que j'apprécie toujours, l'enquête remarquablement bien amenée avec une équipe qui s'épaule, et il y a twist de fou à la fin, heureusement que j'ai le suivant.
On dit de Camilla Lackberg, la reine du suspens, mais elle amène plus que cela, une atmosphère qui fait souvent froid dans le dos, faut bien le reconnaître, je crois que c'est pour cela, que fur à mesure des volets, j'adore cette saga.
Je finirais par une petite citation « Le bon l'avait emporté sur le mauvais. Parfois il se débattait avec ses cauchemars, il n'en était plus sûr. Mais une fois la lumière du jour revenue, le mauvais se tapissait de nouveau dans l'ombre »
Pour ce tome 4 l'autrice nous emmène dans le milieu de la télé-réalité de l'alcoolisme et de l'homosexualité féminine.
Les investigations se croisent et s'entremêlent sans parler des faits personnel d'Ericka et Patrick et également de Melberg.
J'ai particulièrement aimer ce tome là, avec une alternance passé présent que j'apprécie toujours, l'enquête remarquablement bien amenée avec une équipe qui s'épaule, et il y a twist de fou à la fin, heureusement que j'ai le suivant.
On dit de Camilla Lackberg, la reine du suspens, mais elle amène plus que cela, une atmosphère qui fait souvent froid dans le dos, faut bien le reconnaître, je crois que c'est pour cela, que fur à mesure des volets, j'adore cette saga.
Je finirais par une petite citation « Le bon l'avait emporté sur le mauvais. Parfois il se débattait avec ses cauchemars, il n'en était plus sûr. Mais une fois la lumière du jour revenue, le mauvais se tapissait de nouveau dans l'ombre »
