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Critique de Virginieriaute
Un voyage entre Locmaria, la région grenobloise et New York, pour ce cinquième opus aussi jubilatoire que les précédents.
Cathie « Ouald » est devenue, au fil de ses aventures, une connaissance pour ne pas dire une amie, probablement parce que j'aime m'identifier à cette femme à l'esprit vif, teinté d'impétuosité, au sens pratique ( mes 50% de souches alsaciennes y seraient elles pour quelque chose ? Moi non plus je n'aime pas quand le sable s'insère partout… 😉) et à la cinquantaine encore appétissante et parce que je sais à présent anticiper ses réactions, et parfois même ses réparties, non dépourvues d'humour.
Comme dans les épisodes précédents, les chapitres sont très courts et nous gardent en haleine et les dialogues sont réussis. L'écriture, toujours soignée, est un ingrédient notoire du succès de cette série.
Bretzel & Beurre salé se croque comme un épisode de Desperate housewives mais sans femmes désespérées et même sans femmes au foyer puisque tous les personnages féminins ont un travail et sont plutôt débrouillards et audacieux. Je le qualifierais de roman féministe puisque les femmes de ce roman ont la part belle et ne manquent pas de mettre la gent masculine face à ses « faiblesses » en la tournant même parfois au ridicule. C'est léger, espiègle et rafraîchissant.
Un bon bol d'air frais et un plaisir non feint à chaque chapitre de cette lecture.
Je recommande !
Cathie « Ouald » est devenue, au fil de ses aventures, une connaissance pour ne pas dire une amie, probablement parce que j'aime m'identifier à cette femme à l'esprit vif, teinté d'impétuosité, au sens pratique ( mes 50% de souches alsaciennes y seraient elles pour quelque chose ? Moi non plus je n'aime pas quand le sable s'insère partout… 😉) et à la cinquantaine encore appétissante et parce que je sais à présent anticiper ses réactions, et parfois même ses réparties, non dépourvues d'humour.
Comme dans les épisodes précédents, les chapitres sont très courts et nous gardent en haleine et les dialogues sont réussis. L'écriture, toujours soignée, est un ingrédient notoire du succès de cette série.
Bretzel & Beurre salé se croque comme un épisode de Desperate housewives mais sans femmes désespérées et même sans femmes au foyer puisque tous les personnages féminins ont un travail et sont plutôt débrouillards et audacieux. Je le qualifierais de roman féministe puisque les femmes de ce roman ont la part belle et ne manquent pas de mettre la gent masculine face à ses « faiblesses » en la tournant même parfois au ridicule. C'est léger, espiègle et rafraîchissant.
Un bon bol d'air frais et un plaisir non feint à chaque chapitre de cette lecture.
Je recommande !
