"Il se peut que ce soit une coquetterie de m'admirer des minutes entières à travers tes yeux vitreux, ton miroir étincelant de lubricité. Mais, si je te chope l'âme mon adoré, je veux sentir ton cœur au fond de ma gorge qui brûle, et à coup sûr, mon amour d'orge, je t’avalerai."
"Invocations rauques aux heures indues, du temps qui s’égare en nobles jouissances, je prétendrais mourir ancrée à ton îlot."
"Ça me défonce le cœur de te voir au-dessus de moi, à me chercher jusqu'à l'âme."
"Ce penchant cru, cet attrait frénétique… Tu sais, le goût de tes récréations, l’oubli du temps et de la décence entres tes filets, ça ne part pas."
"Je perçois tes élucubrations, ta voix tremblante me dire que ma chatte est comme un papillon. Sur tes lèvres, mes ailes larges et écartées prennent leur envol. Ton souffle seul suffit à me faire céder, je pose mes genoux à terre et m’affale sur ta brèche. Tes mains agrippent mes fesses et déjà, tu fouilles, ta langue darde au fond de l’écurie, courbe le foin, mouille la stalle de mon rubis."